• Journal de campagne, suite…

    Journal de campagne, suite…

    Ségolène Royal en campagne apporte son soutien aux candidats socialistes et aux équipes de gauche pour les municipales et les cantonales. Et rencontre également celles et ceux qui se battent pour leur entreprise, leur famille, leur pouvoir d’achat, leur quartier. Sur la dernière ligne droite, les déplacements se multiplient et l’espoir se renforce.

    Mardi 26 février, Toulon (Var) - Comme Saint-Maur-des-Fossés, Neuilly-sur-Seine, Hyères et Nice « Toulon est sur la liste noire de la fondation Emmaüs », souligne Ségolène dans la ville chef-lieu du Var, aux côtés de Robert Alfonsi, candidat aux municipales. La Fondation Abbé Pierre a en effet publié à la mi-février un palmarès des communes soumises aux obligations légales en matière de logement social (loi SRU) qui place Toulon parmi les plus mauvais élèves de France. « Il faut respecter cette loi, construire des logements pour ceux que la vie chère frappe le plus », a rappelé Ségolène.

    Mardi 26 février, Bordeaux, Talence et Gradignan (Gironde) – Après une visite de soutien en compagnie de Vincent Feltesse (Président de la Communauté Urbaine de Bordeaux) à Blanquefort aux salariés de Ford au chômage technique qui réclament la pérennisation de près de 2.000 emplois après 2010, Ségolène et Alain Rousset rejoignent Bordeaux. Sur la place Saint-Michel, au cœur de la capitale aquitaine, elle appelle à la mobilisation autour d’Alain Rousset et dans chaque commune pour « un vote d'avertissement au pouvoir en place ». Une journée qui aura continué sur des rencontres chaleureuses avec Anne-Marie Keiser, Gilles Savary et leurs équipes, respectivement candidats à Gradignan et Talence. L’occasion également d’affirmer que « L'enjeu, dans les collectivités territoriales, c'est d'amortir les chocs que la mauvaise politique de Nicolas Sarkozy fait subir au pays, en particulier la vie chère, la précarité qui augmente, les salaires qui baissent, les impôts nouveaux - 6 nouveaux impôts en 8 mois - la dégradation de l'accès aux soins ».

    Lundi 25 février, Périgueux (Dordogne) – Venue soutenir amicalement devant un millier de personnes Michel Moyrand qui est bien parti pour prendre la mairie de Périgueux, Ségolène déclare que « toute élection a un sens national. C'est au niveau des villes qu'on va pouvoir résister à tout ce qui se délite au niveau national ». Signe des temps ? Dans le journal de campagne de maire-ministre Xavier Darcos, « sur la photo, le président de la République a disparu… »

    Samedi 23 février, Nice (Alpes-Maritimes) - « Il est temps de changer d’ère » : à Nice où avec Patrick Allemand et son équipe pour les municipales, Ségolène appelle avec force au changement. Parce que les élections municipales et cantonales peuvent ramener au bon sens un Président et un Gouvernement qui « multiplient les promesses et les annonces non tenues. Hausse des prix, vie trop chère, hausse du prix de l'essence, de l'alimentation, impôts, promesses non tenues : on n'en peut plus . Trop de familles sont dans les difficultés. On en a assez de cette politique d'improvisation, de désinvolture, d'annonces nouvelles au quotidien sans doute pour faire oublier celles de la veille". La gauche porte l’espoir. L’espoir également, à Nice, d’en finir avec l’affairisme et les batailles claniques au sein de la droite.

    Vendredi 22 février, Montpellier (Herault) - Visite du quartier de la Paillade, du marché : vendredi 22 février, Ségolène à Montpellier est aux côtés d'Hélène Mandroux, une des seules femmes maire de grande ville, candidate à sa réélection.

    Ce même jour, Cités d'avenir, déclinaison de Désirs d'avenir dans les quartiers, a vu le jour à Montpellier où sera basé son siège social. L’association fédérera les initiatives de quelque 200 associations de toute la France, avec un conseil d'administration représentatif de toutes les régions et se veut une force de propositions."On veut continuer sur la dynamique de l'élection présidentielle », explique un des fondateurs de Cité d'avenirs, Brahim Abbou.

    Jeudi 21 février, Charente-Maritime – Une journée dans des cantons ruraux du département pour faire basculer à gauche le Conseil général qui n’en n’a jamais été aussi près.

    Mercredi 20 février, Caen (Calvados) - « Je me reconnais dans la façon dont Philippe Duron fait de la politique, dans la parole donnée qui sera suivie d’effet. » Lors d’un meeting devant 800 personnes à Mondeville, Ségolène est venue encourager Philippe Duron parti pour conquérir Caen. Soutien chaleureux également à l’ensemble des candidats socialistes dans un appel à la mobilisation de tous : « mettons-nous en mouvement ! ».

    Mardi 19 février, Metz (Moselle) – Dans la ville chef-lieu mosellane et lorraine, Ségolène, en compagnie de Jean-Marc todeschini, Sénateur et 1er fédéral, soutient la liste conduite par Dominique Gros ainsi que les candidats aux cantonales Sébastien Koenig et Jean-Michel Toulouze. Un meeting pour appuyer le désir de faire de Metz une ville « écologique, innovante, solidaire, européenne et démocrate » et offrir à la Moselle un « changement politique et un nouvel élan ».

    Lundi 18 février, Charente et Vienne – Un détour par Confolens pour soutenir Madeleine Ngombet et par Châtellerault en appui de Joël Tondusson, tous deux têtes de liste aux municipales.

    Dimanche 17 février, Pontoise (Val d’Oise) – Des sourires, des fleurs, des ballons, le soleil... Ségolène rencontre les habitants de Pontoise, dans le quartier de Marcouville, pour soutenir Didier Peyrat et les membres de la liste Pontoise Ensemble « issus de la société civile et de toute la gauche ». Leur projet pour Pontoise : « bâtir une ville enfin rassemblée, mieux équilibrée, plus solidaire et écologique et rénover la démocratie municipale à Pontoise. »

    Dimanche 17 février, Levallois-Perret (Haut-de-Seine) - Ségolène se fait à Levallois-Perret l’avocate de la " morale républicaine " lors d'une visite de soutien au candidat PS à la mairie, Thierry David, escortée par des militants socialistes mais aussi de nombreux partisans du maire. « Personne n'est propriétaire de terres. On n'est plus dans une monarchie, qu'est-ce que ça veut dire ? C'est curieux, la résurgence d'un vocabulaire d'un autre âge ! « , s'est-elle exclamée, alors qu'on lui demandait si elle venait "défier M. Balkany sur ses terres. Cette visite est un soutien tout simple à un excellent candidat, un besoin d'alternance sur un territoire. Il y a une morale républicaine qui peut être incarnée par le candidat socialiste, Thierry David. » --- Source : « Paris d’Avenir, un autre regard », le blog du comité parisien Désirs d’Avenir

    Samedi 16 février, Blois (Loir-et-Cher) - En fin de journée, arrivée à Blois dans une salle comble et enthousiaste pour un meeting en soutien à Marc Gricourt, candidat à la mairie et Christophe Degruelle, postulant à la présidence de l’agglomération : un « tandem » emblématique de la volonté de ne pas cumuler et d’avancer en transparence. « Attachés à des valeurs de solidarité, d'humanisme, de convictions et de respect de celles-ci », ils appellent à une « forte mobilisation, pour choisir une équipe municipale innvante et protectrice, et pour ne pas accepter le plan de rigueur de Nicolas Sarkozy et de tout ceux qui le soutiennent à Blois. »

    Samedi 16 février, Deux-Sèvres (Loir-et-Cher) – Le Département des Deux-Sèvres peut basculer à gauche : Ségolène apporter un soutien plein d’espoir et amical à Jean-Claude Sillon (canton de Chef-Boutonne), Christian Goyer (Brioux-sur-Boutonne), Sébastien Dugleux (Mauzé-sur-le-Mignon), Joël Misbert (Frontenay Rohan Rohan), en présence de Françoise Billiy, première fédérale, et de Delphine Batho. Au cœur d’un Marais Poitevin auquel le Gouvernement refusera scandaleusement, pour des raisons de politique politicienne, le label PNR quelques jours plus tard, soutien également à Yann Hélary, candidat Vert aux cantonales en Vendée villiériste.

    Jeudi 14 février, Villeurbanne et Vaulx-en-Velin (Rhône) – Ségolène accompagnée par Jean-Jack Queyranne soutient Hélène Geoffroy, candidate à la mairie de Vaulx, et Jean-Paul Bret, candidat à sa propre succession à la mairie de Villeurbanne. L’occasion de saluer le travail des équipes municipales de gauche dans les quartiers populaires en pointant du doigt « le plan quartier du Gouvernement annoncé par Nicolas Sarkozy non pas dans les quartiers mais sous les ors de l’Elysée ». Et d’insister sur la nécessité de favoriser concrètement « l’accès au premier emploi et à l’éducation ».


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  • Sondage: Ségolène Royal battrait Sarkozy en cas d'élections aujourd'hui

    Samedi, le magazine Marianne va publier un sondage, montrant que Ségolène Royal l'emporterait sur Nicolas Sarkozy (51% contre 49%) si l'élection présidentielle avait lieu aujourd'hui , selon un sondage CSA pour Marianne.

    Au premier tour, les 12 candidats arriveraient tous dans le même ordre que le 22 avril 2007.

    L'actuel chef de l'Etat arriverait toujours largement en tête avec 32% des intentions de vote, résultat presque inchangé, contre 26% à l'ancienne candidate socialiste.

    Suivraient François Bayrou, en très légère hausse avec 19%, Jean-Marie Le Pen, en baisse d'un point et demi à 9% et Olivier Besancenot, qui grimpe de 4,08% à 7% par rapport à 2007.

    Ce sondage a été réalisé le 26 février auprès d'un échantillon national de 962 personnes âgées de 18 ans et plus. 


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  • Message de Ségolène Royal sur la Pac

    Les agriculteurs doivent être respectés, ils sont essentiels à la société, ils ont une fonction noble et élémentaire l’alimentation. J’ai le plus grand respect pour eux, je connais les contraintes qui sont les leurs et leur engagement, leur savoir-faire pour l’aménagement et le développement des espaces ruraux.

    La politique agricole conduite, ces dernières années, a entraîné une forte diminution de la valeur ajoutée de l’agriculture et de l’emploi.

    Une minorité d’agriculteurs (20%) touche 70% des aides agricoles, ils sont également les acteurs de l’agriculture productiviste avec des effets pervers pour l’environnement et la préservation des ressources agricoles et la cause de la diminution des agriculteurs. Les aide de la PAC ne sont plus une aide au maintien de l’emploi et des revenus des agriculteurs mais des rentes financières pour une minorité d’agriculteurs. Je le constate aussi dans ma région ou ce sont majoritairement les plus gros agriculteurs qui investissent dans l’immobilier sur la côte ou dans les principales villes.

    Avec les présidents de région Bretagne, Pays de Loire et basse Normandie, nous travaillons depuis plusieurs mois à une autre politique agricole commune.

    Nous souhaitons une répartition des aides plus équitable entre les agriculteurs nous souhaitons engager une modulation importante des aides du premier pilier vers le second destiné à soutenir des pratiques agricoles respectueuses de l’environnement avec un plafonnement des aides par agriculteur. Ceci doit permettre de maintenir les emplois agricoles, la préservation des ressources naturelles comme le paysage et l’eau et la valorisation des savoirs-faire locaux sources d’emplois. Nous proposons également une régionalisation des aides de la PAC afin d’adapter au mieux le soutien public aux besoins et spécificités du territoire et en corrélation avec la fluctuation des prix des productions (céréales, viandes, ...).

    Notre proposition s’engage à garantir la souveraineté alimentaire des peuples. Les excédents agricoles des occidentaux ne doivent plus déréguler l’économie vivrière des pays du sud.

    Un agriculteur Biologique d’Echiré en Deux-Sèvres dans ma région a été contaminé par un maïs OGM. Après les tests engagés par la région, les résultats se sont avérés positifs sur sa récolte, ceci a été confirme le 8 février dernier, les risques de pollution génétique sont bien réels.

    De plus, Jeudi soir à Poitiers, la Région Poitou-Charentes parrainait la projection exceptionnelle du film le « Monde selon Monsanto », avant sa diffusion sur Arte le 11 mars à 20h50. Une projection devant 200 spectateurs, en présence de Marie-Monique Robin (sa réalisatrice originaire de Poitou-Charentes qui a obtenu le Prix Albert Londres). Ce film démontre clairement le système MONSANTO et l’incidence des OGM sur la dépendance des agriculteurs en inde qui se retrouvent massivement en faillite suite à l’implantation de Coton OGM. Le développement massif des plantes OGM et leur traitement par le Round Up READY de MONSANTO, ont des incidences dramatiques sur la santé des paysans brésiliens et Paraguayens. Il est également clairement établi que leur développement entraîne des cancers chez les agriculteurs aux états unis. Que de véritables testes n’ont pas été fait et que l’incidences des effets de la biologie transgénique a été caché par les gouvernements des Etats-Unis.

    Ces témoignages sont éloquents et donnent raison à ceux qui se sont battus pour interdire les OGM.

    A leur ou la France tergiverse sur les OGM, je demande un engagent claire du gouvernement, après la mise en place de la clause de sauvegarde sur le MON 810, le moratoire doit être activé et la mise en culture d’OGM en plein champ doit-être interdit.
     
    Signature Ségolène Royal


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  • Nicolas Sarkozy: la France ne va pas «maintenir indéfiniment des forces en Afrique»

    Les présidents Nicolas Sarkozy et Thabo Mbeki le 28 février 2008 au Cap
      Eric Feferberg AFP ¦ Les présidents Nicolas Sarkozy et Thabo Mbeki le 28 février 2008 au Cap
     
    Nicolas Sarkozy avait promis lors de sa campagne qu’il romprait avec les vieilles pratiques de la «Françafrique» et ses nombreux accords de défense avec les Etats africains. Après des premiers mois hésitants et une aide militaire apportée au président tchadien Idriss Déby, le président de la République a affirmé jeudi en Afrique du Sud que la France n'avait «pas vocation à maintenir indéfiniment des forces armées en Afrique».
     
    Quelque 9.000 soldats français sont actuellement déployés au Sénégal, en Côte d'Ivoire, au Gabon, au Tchad, en Centrafrique et à Djibouti. «L'Afrique doit prendre en charge ses problèmes de sécurité», a affirmé le président dans un discours très attendu devant les parlementaires sud-africains au Cap.
     
    Revenir sur des accords vieux de 50 ans
     
    Il a ainsi annoncé la «renégociation de tous les accords militaires de la France en Afrique [car] la présence militaire française en Afrique repose toujours sur des accords conclus au lendemain de la décolonisation, il y a plus de 50 ans!», s'est-il exclamé, marquant sa volonté de rupture avec la «Françafrique».
     
    «Ce qui a été fait en 1960 n'a plus le même sens aujourd'hui», a-t-il poursuivi, déclenchant les applaudissements de l'assistance. Selon lui, «la rédaction de ces accords est obsolète» et «il n'est plus concevable, par exemple, que nous soyons entraînés dans des conflits internes».
     
    «La sécurité des Africains est d’abord l’affaire des Africains»
     
    Nicolas Sarkozy a également annoncé que «contrairement à la pratique passée», tous les nouveaux accords «seront intégralement publiés». «J'associerai également étroitement le Parlement français aux grandes orientations de la politique de la France en Afrique», a-t-il promis. Selon lui, «le principe de transparence» est «le meilleur antidote aux fantasmes et aux incompréhensions».
     
    Il propose enfin que «la présence militaire française en Afrique serve en priorité à aider l'Afrique à bâtir, comme elle en a l'ambition, son propre dispositif de sécurité collectif». «Il ne s'agit pas d'un désengagement de la France en Afrique» mais «la sécurité de l'Afrique c'est d'abord, naturellement, l'affaire des Africains», a-t-il conclu.

    Eric Feferberg AFP ¦ Les présidents Nicolas Sarkozy et Thabo Mbeki le 28 février 2008 au Cap

     
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    Avec agence


    20Minutes.fr, éditions du 28/02/2008 - 16h52


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  • Delanoë donne de la voix pour en récolter

    Meeting de Bertrand Delanoë, le 27 février 2008, au Zénith de Paris.

     

    S. ORTOLA / 20 MINUTES ¦ Meeting de Bertrand Delanoë, le 27 février 2008, au Zénith de Paris.

     
    La salle n’était pas comble, mais l’enthousiasme était là. Mercredi soir, Bertrand Delanoë donnait son grand meeting de campagne au Zénith, devant 3.000 sympathisants. Il a fait son entrée en fendant la foule, s’arrêtant pour discuter avec Lionel Jospin.

    Darmon, Semoun...

    Les artistes sont là pour assurer le spectacle. Gérard Darmon soigne son intro: «J’ai failli ne pas arriver, ça roulait mal. Françoise de Panafieu s’interposait avec son comité de soutien. Heureusement, un mec m’a pris en stop, il conduisait un 4x4 diesel: Denis Baupin, très sympa.» Succès garanti.

    Elie Semoun débarque, échange avec Darmon, puis lui lance un «casse-toi, pauvre con». La foule redouble d’applaudissements. S’enchaînent les interventions, du généticien Axel Kahn sur la laïcité, de Marie Desplechin puis du résistant Raymond Aubrac, littéralement acclamé. Aux premiers rangs, des jeunes à qui des chauffeurs de salle font signe de donner de la voix scandent: «Paris à gauche». Rien n’est laissé au hasard. Le candidat PS peut entrer en scène.

    «J'assume même Vélib'»

    «Le droit au logement pour tous, c’est un vrai enjeu de civilisation», assène-t-il pour répondre aux critiques, puis il promet: «En 2011, il n’y aura plus un seul logement insalubre à Paris.» Vient ensuite l’épineux sujet des déplacements: « J’assume les moins 20% de voitures à Paris, mais j’assume aussi les moins 32% de pollution. J’assume même Vélib’», crie-t-il. Un appel est lancé aux «partenaires» de gauche, leur future collaboration évoquée. Mais officiellement, rien n’est joué.

    S. ORTOLA / 20 MINUTES ¦ Meeting de Bertrand Delanoë, le 27 février 2008, au Zénith de Paris.

     
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    Magali Gruet


    20Minutes.fr, éditions du 27/02/2008 - 22h11


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