• Carnet de campagne de F. Hollande n°9
    Carnet de campagne de F. Hollande n°9

    le candidat UMP à la présidentielle Nicolas Sarkozy, le 10 avril 2007 à Tours

    Origine : Belgique

    Le journal belge Le Soir prend position contre Sarkozy, jugé "dangereux"
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    BRUXELLES, 14 avr 2007 (AFP) - Le quotidien francophone belge Le Soir a pris position samedi contre le candidat de droite à l'élection présidentielle française Nicolas Sarkozy, jugé "dangereux" par ses déclarations "sur le caractère inné de la pédopholie" ou sa "posture résolument populiste".
    "On ne peut plus rester sans le dire. Oui, Nicolas Sarkozy est dangereux", écrit dans son éditorial le quotidien, qui estime que "le candidat de l'UMP a franchi la ligne rouge".
    "Ses propos sur le caractère inné de la pédophilie ou de la tendance suicidaire bouleversent tous les principes de l'humanisme", juge la corresponsante du Soir à Paris, Joëlle Meskens, auteur de l'éditorial.
    La journaliste s'en prend également à un discours de Nicolas Sarkozy dans un meeting à Nice dans lequel il a déclaré que <?XML:NAMESPACE PREFIX = ST1 /><ST1:PERSONNAME ProductID='la "France' w:st="on">la "France</ST1:PERSONNAME> n'a pas inventé la solution finale".
    "Ses propos sur l'Allemagne, prédisposée à s'abandonner au nazisme, sont tout aussi écoeurants", écrit-elle.
    "Au soir du premier tour, le candidat de l'UMP se félicitera peut-être d'avoir asséché le terreau électoral de Jean-Marie Le Pen. Mais à quel prix ? Celui, affolant, d'une lepénisation des esprits", conclut-elle.
    far/dfg

    Des salariés disent avoir été empêchés de se rendre à un meeting de Sarkozy <O:P></O:P>


    MEAUX, 13 avr 2007 (AFP) - Une centaine de salariés des entreprises JDC et LSG-Gate-Gourmet ont affirmé vendredi soir avoir avoir été bloqués par des forces de police alors qu'ils tentaient de rejoindre Meaux (Seine-et-Marne) en bus pour y rencontrer Nicolas Sarkozy, ce qu'un responsable policier a démenti.
    Des syndicalistes ont affirmé à l'AFP qu'ils avaient été bloqués pendant environ trois heures, et avaient pu reprendre la route une fois le candidat UMP à la présidentielle, qui tenait un meeting dans la ville parti, vers 20H30.
    Contactée par l'AFP, la préfecture de Seine-et-Marne n'a pas souhaité répondre à ces accusations.
    Un haut responsable de la police départementale a pour sa part évoqué de simples "contrôles routiers" et démenti que les salariés aient été bloqués, sans écarter que ces contrôles aient pu les "retarder".
    Un premier car, où se trouvaient une cinquantaine de salariés de l'entreprise JDC (imprimerie), basée à Torcy, et de Nestlé (agroalimentaire), basée à Noisiel, a été bloqué sur la départementale 404 à hauteur d'Annet-sur-Marne, à quelque <ST1:METRICCONVERTER ProductID="15 km" w:st="on">15 km</ST1:METRICCONVERTER> de Meaux, vers 17H30, selon Jean-Paul Brinon, délégué de l'intersyndicale CGT-FO de JDC-Imprimerie.
    "Des motards nous ont contrôlés une première fois à Torcy, puis une deuxième fois un peu plus loin. Du coup, nous avons menacé de bloquer l'A4 et ils ont dit qu'ils nous accompagnaient à Meaux. Quand on a pris la D404, ils nous ont bloqués à un rond-point et nous ont parqués au bord de la route", a affirmé le syndicaliste à l'AFP.
    Un deuxième car, qui partait du site de Compans de LSG-Gate-Gournet, aurait lui été bloqué vers 18H00 dans la zone industrielle de Mitry-Mory, à <ST1:METRICCONVERTER ProductID="22 km" w:st="on">22 km</ST1:METRICCONVERTER> de Meaux, a affirmé Michèle Guzman, secrétaire départementale du PCF en Seine-et-Marne, qui se trouvait dans le véhicule avec une cinquantaine de salariés.
    En outre, une vingtaine de salariés de LSG-Gate-Gourmet qui se trouvaient sur le parking de la gare de Meaux ont affirmé à l'AFP y avoir été bloqués une heure.
    Le Parti communiste avait appelé mercredi à Torcy (Seine-et-Marne) les salariés de Seine-et-Marne dont les emplois sont menacés à aller à la rencontre de M. Sarkozy vendredi soir à Meaux.
    Plus de 150 salariés de JDC sont en cours de licenciement après la liquidation judiciaire de l'entreprise.
    Par ailleurs, plus de 800 emplois sont menacés chez LSG-Gate-Gourmet, dont le tribunal de commerce de Mulhouse pourrait décider la liquidation d'ici au 2 mai.
    sl/mck/bw
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    Les outre-mers avec Ségolène ROYAL<O:P></O:P>

    Victorin LUREL, secrétaire national à l'outre-mer au Parti socialiste, a le plaisir de rendre publique une liste de personnalités des Outre mers appelant à la victoire de Ségolène ROYAL.<O:P></O:P>

    La qualité de cette liste d'artistes, d'intellectuels, de sportifs, d'élus témoigne de la confiance des ultra-marins en Ségolène ROYAL, candidate d'une République métissée et fière de sa diversité.<O:P></O:P>

    En effet, d'Aimé CESAIRE à Marie-Claude TJIBAOU, de Jacob DESVARIEUX à Jenny ALPHA en passant par Ronald POGNON, Corinne COMAN ou Ernest PEPIN, ce sont plus de 230 personnalités issues de l'ensemble des Outre mers qui s'engagent pour Ségolène ROYAL.<O:P></O:P>

    Communiqué de presse de Victorin LUREL,
    Secrétaire national à l'outre-mer au Parti socialiste

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  • Ségolène Royal pas vraiment en reste en meeting à Besançon: «Qui était au pouvoir lorsque M.Forgeard a été nommé? C'est M. Sarkozy! Qui était au pouvoir lorsque l'Etat, le gouvernement actionnaire (a autorisé Noël Forgeard) à partir avec la cassette de huit millions d'euros? C'est Sarkozy! Alors je vais vous le dire avec gravité: lorsqu'on est candidat à la plus haute fonction de l'Etat, je crois qu'il y a un minimum de pudeur, de morale, d'exigence de vérité, d'exigence de crédibilité car comment peut-on être crédible demain en promettant tout le contraire de ce qu'il a fait aujourd'hui»

    Avant son meeting, Ségolène Royal est revenue sur les lieux de son enfance. Petit pèlerinage à Chamagne.

    Ségolène Royal appelle la gauche au "sursaut" face à "une droite dure"


    BELFORT, 13 avr 2007 (AFP) - Ségolène Royal a appelé vendredi à Belfort les électeurs de gauche et les Français à "un sursaut" pour faire barrage "à une droite dure" et assurer la présence de la gauche au second tour de la présidentielle, haussant le ton contre Nicolas Sarkozy.
    Au pays du lion de Belfort, la candidate du PS a sorti ses griffes, allant jusqu'à affirmer que le candidat de l'UMP était porteur de "guerre civile" et, sur fond de drapeau tricolore à l'Hôtel de Ville, a demandé solennellement aux électeurs de faire que "le 22 avril ne ressemble pas à un certain 21 avril" 2002.
    Elle apparaît néanmoins très confiante sur son score du premier tour, tandis que tous les sondages la placent en deuxième position, quelques points devant François Bayrou, avec lequel l'ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard a appelé vendredi à un accord, dès avant le premier tour, ce qui, selon plusieurs responsables socialistes, ne rend pas service à la candidate.
    Alors que, jusqu'à la semaine dernière, Mme Royal insistait sur son programme et sa vision de la France, demandant même à ses auditoires de ne pas huer M. Sarkozy, elle a durci ses critiques depuis mercredi. Elle avait alors dénoncé à Metz "la brutalité" de son adversaire, lui opposant sa "force sereine qui remettra la France sur le chemin de la réussite".
    A Besançon jeudi soir, Mme Royal a franchi un nouveau palier, s'en prenant pour la première fois nommément au candidat de l'UMP pour lui reprocher de "promettre tout le contraire de ce qu'il fait".
    Le thème de "la morale" et de "la vérité de la parole politique", dont s'écarte selon elle M. Sarkozy, est désormais martelé par la candidate dans tous ses discours.
    A Belfort, où une Marseillaise a conclu son intervention, Ségolène Royal a accusé l'ex-ministre de l'Intérieur de "commencer à négocier en douce avec le Front national", après les déclarations de son conseiller Brice Hortefeux sur l'instauration éventuelle d'une proportionnelle partielle aux élections législatives, réclamée par le parti de Jean-Marie Le Pen. "Il chasse sur les terres du Front national", a-t-elle confié.
    A ses yeux, la droite sarkozyste est "encore plus dure" qu'avec Jacques Chirac, elle est faite "de brutalité, de violence, de guerre civile même, puisque rien n'est réglé dans les cités et les banlieues".
    Ségolène Royal, qui a visité l'usine Alstom en compagnie de Jean-Pierre Chevènement, maire de Belfort, a pris pour exemple la Sécurité sociale --que M. Sarkozy veut, a-t-elle dit, "privatiser"--, exhortant "la gauche (à) résister sur ce qui a fait l'essentiel du pacte social et républicain".
    "C'est à ce sursaut que je vous appelle aujourd'hui" en votant à gauche dans neuf jours, a-t-elle lancé, "pour que le 22 avril ne ressemble pas à un certain 21 avril".
    La socialiste se donne pour objectif d'obtenir ce jour-là "le plus gros score possible". Elle considère que le premier tour "sera décisif" pour la victoire finale et se dit prudemment optimiste. "L'ambiance change: on sent une poussée dans la dernière ligne droite, on ne sent plus l'inquiétude" à gauche, a glissé Ségolène Royal aux journalistes. Le fabiusien Claude Bartolone, membre de son équipe de campagne, assure que "le vote utile est en train de jouer à plein".
    Mme Royal n'entend pas cependant passer les derniers jours d'ici le 22 avril à exploiter ce filon. "Je suis pour un vote conscient", a-t-elle affirmé à la presse.
    tma/so/df



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  • «C’est important de débattre, c’est la démocratie»

    Le débat présidentiel 2007 pourrait avoir lieu sur le Net. Ségolène Royal, Nicolas Sarkozy, Jean-Marie Lepen et François Bayrou, invités par un collectif d’acteurs d’Internet, dont 20minutes.fr, sont appelés à débattre ensemble le lundi 16 avril au matin.
    L’enregistrement vidéo sera diffusé en ligne et disponible à tout internaute soucieux de s’informer.

    François Bayrou a répondu oui à l'invitation. Le 5 avril dernier, le candidat UDF avait déclaré «attendre des internautes qu’ils fassent pression pour organiser ce débat», à Arte, à l’occasion d’un documentaire, «Presidentielle.com», diffusé le 8 mai à 20h40.

    <script src="http://portal.vpod.tv/latelelibre/168930/include/videoPlayer"> </script>



    Le 5 avril dernier, Ségolène Royal déclarait vouloir en être. «C’est important de débattre, c’est la démocratie», a dit la candidate socialiste, interviewée par Arte toujours.


    Les candidats Nicolas Sarkozy et Jean-Marie Le Pen, contactés par 20minutes.fr, n’ont à cette heure pas donné leur réponse.


    20Minutes.fr, éditions du 12/04/2007 - 15h06

    dernière mise à jour : 12/04/2007 - 17h47


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  • Ariane Mnouchkine ouvre un blog pour soutenir Ségolène Royal: «Cette femme, eh oui, cette femme porte nos couleurs, elle les porte vaillamment, courageusement, noblement. Et quand je dis couleurs, je ne parle pas des seules trois couleurs de notre drapeau.»

    Première édition hier des concerts du changement, organisés par les jeunes socialistes. Prochaine date jeudi à St-Etienne, avec un débat-concert à 18H30 à la Clef d’voute avec Razzye Hammadi suivi du groupe Full Faya.

    Reprise des hostilités entre Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy. Revenant sur la polémique sur le déterminisme génétique, la candidate socialiste a jugé «très dangereuses» les déclarations de Nicolas Sarkozy. «Une nouvelle fois, elles sont révélatrices de la brutalité, de la façon de faire et de penser de Nicolas Sarkozy.»

    Polémique toujours, François Hollande est, pour une fois, d’accord avec sa compagne, et ne croit pas non plus au déterminisme. En meeting, il lâche un scoop, il n’y a pas non plus de gène pour être président: «jamais nous ne pouvons laisser penser qu'il y aurait une destinée génétique qui condamnerait les uns à la déviance avant même qu'ils ne soient nés, et d'autres, par destin sans doute, pourraient être plus riches et plus puissants que les autres, voire même capables d'être président de la République.» la vidéo est longue, mais le meeting est chaud.


    Jean-Marie Le Pen en remet une couche dans les accusations sous la ceinture. Deux jours après avoir qualifié Nicolas Sarkozy de «candidat venant de l'immigration», il a expliqué qu'il valait mieux être «Français de souche» pour présider la France.


    Nouveau scoop du «Canard enchaîné», Nicolas Sarkozy s’est fait refourgué un slogan usagé. «Ensemble tout devient possible» est utilisé depuis 1992 par la Société générale marocaine de banques. Ironie de l’histoire, le patron de l’agence de pub qui a trouvé ce slogan est Jean-Michel Goudard, un publicitaire attitré de Sarkozy.

    20 minutes


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