• Clip - Vote ou crève


    Clip - Vote ou crève

    J-12
    Point de campagne du 10 avril
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    Actu : Le carnet de campagne de François Hollande
    Santé : Pétition contre la franchise de soins
    Reportage dans des structures de santé
    Iran : L'Iran doit se conformer au traité de non-prolifération
    Vidéo : le pacte présidentiel en images
    Portrait :  Najat Belkacem


    La Sécurité sociale est un des acquis du modèle social français, elle doit être préservée

    Christiane Taubira
    Le point de presse par Christiane Taubira

     

    L'Actu

    Le carnet de campagne de François Hollande n°7
    Au lendemain de la trêve politique du week-end pascal, François Hollande aborde à l'occasion de son carnet de campagne ce qui a marqué l'actualité ces derniers jours.
    Au sommaire de ce numéro :
    - la mobilisation à 12 jours du premier tour
    - Sarkozy et la génétique
    - la connivence UMP/FN
    - la gauche laxiste en matière de sécurité ?
    - la gestion de l'économie et la gauche
    Voir la vidéo

    Santé

    La Sécurité sociale est un des acquis du modèle social français, elle doit être préservée
    Ségolène Royal a signé mardi la pétition des médecins et professionnels de la santé contre la franchise sur les remboursements de soins préconisée par Nicolas Sarkozy, un projet selon elle "dangereux" et "brutal".

    Voir la réaction de Ségolène Royal

    Christian Lehmann, médecin généraliste initiateur de la pétition contre la franchise santé, explique son engagement.

    Voir la vidéo


    La santé pour tous
    Reportage à Lyon, où Ségolène Royal, en visite dans des structures de santé, a développé les propositions du pacte présidentiel en la matière.
    Voir la vidéo

    Les propositions du Pacte présidentiel en matière de santé et de sécurité sociale
    Creux des déficits, réforme des retraites injuste, franchises pour les soins, hôpital public déstabilisé..Il faut rétablir une sécurité sociale..
    Lire les propositions

    Les propositions du Pacte présidentiel en vidéo
    Pilier n°4 "Garantir la protection sociale des familles"

    Point presse

    Point presse du 10 avril : Christiane Taubira
    La vice-présidente du Parti Radical de Gauche animait ce matin le point presse quotidien de campagne. Christiane Taubira est revenu sur les propos de Nicolas Sarkozy concernant le determinisme génétique des pédocriminels. "Il ne croit pas en la politique, c'est son rôle de civiliser la société."
    Voir la vidéo

    International

    Ségolène Royal s'exprime sur le cas de l'Iran
    "L'Iran doit se conformer au traité de non-prolifération et aux résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU".
    Lire le communiqué

    Lettre de Ségolène Royal aux Français à l'étranger
    Vous avez fait un choix courageux, celui de l'expatriation. Votre présence à l'étranger est une chance et une richesse pour chacun.
    Lire la lettre

    Revue de presse

    Le Machisme Economique, Chronique de Thomas Piketty dans Libération du 9 avril 2007
    Ségolène Royal est une femme, donc nulle en économie ? Aussi grossier puisse-t-il paraître, ce syllogisme d'un autre âge pèse visiblement lourd dans les subconscients.
    Lire dans Libération

    Vidéos

    Portrait : Najat Belkacem
    10 minutes, intime, avec la porte-parole de Ségolène Royal, Najat Belkacem.
    Voir la vidéo

    En perspective : Patricia Adam  
    "En perspective" avec comme invitée Patricia Adam, députée et vice-présidente du Conseil Général du Finistère. Entretien avec Stéphane Bugat sur la famille et la petite enfance.
    Voir la vidéo

    Captures d'écrans
    5 minutes indispensables des dernières 24h de la campagne dans les médias.
    Voir les captures d'écrans du 9 avril
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    Matériel militant

    Bannières pour inviter les visiteurs de vos blogs et sites à s'abonner à cette lettre
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    Faites connaître le pacte présidentiel de Ségolène Royal
    Pour vous aider à faire connaître les 7 Piliers du Pacte présidentiel nous avons mis à votre disposition, sur le site de campagne, un outil qui vous permet de choisir un des 7 Piliers du Pacte et d'envoyer un message personnalisé aux personnes de votre choix. C'est facile et rapide.
    http://emilitants.parti-socialiste.fr/piliers.php


    Agenda

    11 avril :
    - Ségolène Royal invitée des "4 vérités" sur France 2 à 7h40
    - François Hollande animera un meeting à la salle d'animation de Luc (Aveyron) à 19h30
    - Meeting avec Ségolène Royal à Metz à 19h - Les Arènes

    Sollicitez des procurations
    L’échéance électorale se rapproche et, le jour J, toutes les voix comptent. Une forte participation est une de nos chances de victoire. Certains d’entre vous ne seront peut-être pas disponibles pour se rendre à leur bureau de vote. C’est le moment d’établir une procuration pour un électeur de leur choix.
    Comment établir une procuration ?

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  • Ségolène Royal : au B-Box, reportage Fatcat Films à Clermont-Ferrand


    A Carmaux, Ségolène Royal reprend le flambeau de Jean Jaurès <?XML:NAMESPACE PREFIX = O /><O:P></O:P>


    CARMAUX (Tarn), 6 avr 2007 (AFP) - Ségolène Royal a voulu reprendre le flambeau de Jean Jaurès, dont elle a exalté la mémoire lors d'une réunion publique vendredi soir à Carmaux (Tarn), le fief du fondateur du Parti socialiste (à l'époque SFIO) en 1905.
    "Ici à Carmaux, on sait ce que c'est que de lutter", s'est exclamée la candidate socialiste à la présidentielle dans l'ex-cité minière où Jean Jaurès s'était illustré dans la défense des mineurs en grève au tournant du XXe siècle, alors qu'il n'était pas encore socialiste.
    Ségolène Royal a célébré Jaurès "révolté par la dure condition ouvrière de son temps" et qui "n'hésite pas à se ranger du côté de ceux qui luttent pour leur dignité".
    Le député de Carmaux "dénonçait un système de métal qui traite les hommes comme une marchandise (...), moi je dis la même chose aujourd'hui", a-t-elle ajouté, en présence du président de Midi-Pyrénées Martin Malvy et du député actuel de la circonscription, Paul Quilès.
    Mais, a soutenu la candidate socialiste, Jean Jaurès est aussi celui qui "a assumé le devoir d'invention" et s'est "affranchi des dogmes". Aujourd'hui aussi, a-t-elle lancé, "n'ayons peur d'aucune idée, n'ayons pas peur d'avancer, répondons aux problèmes, au désespoir, mettons en mouvement nos intelligences collectives à l'abri de tous les dogmes".
    C'est dans ce cadre que Ségolène Royal a resitué le "Contrat nouvelle chance" - une formule évoquant le "Contrat nouvelle embauche" qu'elle veut supprimer -, commettant un lapsus pour parler du "Contrat première chance".
    "J'ai le souci de l'efficacité" pour "ceux qui sont désespérés de quelque chose qui ne vient pas". "Avec moi, quelque chose viendra parce que j'aurai la force de bousculer tout ça et que j'ai compris vos impatiences", a-t-elle affirmé, sous de vifs applaudissements.
    Dans cette région où est parlé l'occitan, Ségolène Royal s'est déclarée "favorable à l'enseignement des langues régionales" qui "enrichissent l'identité nationale". "Nous ratifierons la charte des langues régionales", a-t-elle réaffirmé.
    Elle s'est aussi prononcée pour "une Europe capable de protéger les siens d'une mondialisation mal maîtrisée", tout en se défendant d'être nationaliste. "Un peu d'internationalisme éloigne de la patrie, mais beaucoup y ramène", a-t-elle dit, citant Jean Jaurès.
    tma/def
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    Ségolène Royal regrette le refus de Sarkozy d'un débat TV avant le 1er tour <O:P></O:P>


    MONTAUBAN, 6 avr 2007 (AFP) - Ségolène Royal a regretté vendredi à Montauban l'absence de débat avec ses adversaires d'ici le 1er tour de l'élection présidentielle, car cela aurait permis "de débusquer les contre-vérités", selon elle.
    Nicolas Sarkozy s'est déclaré hostile à l'organisation d'un tel débat avant le 1er tour, estimant qu'il aurait fallu "le faire avant".
    "Je regrette qu'il n'y ait pas de débat avant le 1er tour pour débusquer un certain nombre de contradictions et de contre-vérités", a déclaré la candidate socialiste lors d'une rencontre informelle avec la presse.
    "Ce débat, les Français le veulent. Cela permettrait de clarifier les choses", a-t-elle ajouté.
    Mme Royal a par ailleurs indiqué qu'elle consacrerait les trois grands meetings prévus d'ici le 22 avril à "bien repréciser les grands enjeux institutionnels qui relèvent de la présidence de la République.
    Mme Royal parlera à Nantes "des réformes institutionnelles", à Metz "de la politique étrangère" et à Toulouse de "la cohérence globale" de son projet présidentiel, a -t-elle précisé.
    La candidate entend également donner "un calendrier précis" de ce qu'elle entend faire pour relancer la construction européenne, si elle est élue.

    tma/cgd/mic

     

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    Ségolène Royal veut "sortir la France d'une espèce de mollesse" <O:P></O:P>


    MONTAUBAN, 6 avr 2007 (AFP) - Ségolène Royal a déclaré vendredi à Montauban qu'elle serait "la présidente qui agira, qui marchera droit", et qu'il était temps de "sortir la France d'une espèce de mollesse", répliquant aux critiques contre sa proposition de "contrat première chance".
    "Le pays attend quelqu'un qui va le sortir de la situation dans laquelle il est (...), les Français attendent quelqu'un qui agisse. Je serai cette présidente qui agira, qui marchera et qui marchera droit", a affirmé la candidate socialiste lors d'une rencontre informelle avec les journalistes.
    Sur un ton très ferme, Mme Royal, apparemment agacée par les critiques contre sa proposition de "contrat première chance" (CPC) pour les jeunes non qualifiés, a estimé que sa "responsabilité est de répondre à l'angoisse, à la colère des Français".
    "Ils attendent des réponses concrètes. Si certains ont de meilleures idées, qu'ils les donnent. Cette idée, je la réaliserai, vous m'entendez bien!", a-t-elle lancé.
    Concernant le CPC proprement dit, "je peux ajuster", mais "j'avancerai droit, personne ne m'intimidera", a-t-elle enchaîné.
    La candidate socialiste a jugé "normal que les organisations de jeunes, en particulier, aient posé des questions" sur ce CPC, compte-tenu, a-t-elle dit, de l'expérience du CPE et "des gaspillages" des aides publiques aux entreprises.
    "Mais il est temps de sortir la France d'une espèce d'attentisme, de mollesse, d'indifférence", a tonné Mme Royal.
    La candidate a dénoncé "un système bureaucratisé". "On est en train de +chicailler+, les gens n'en peuvent plus de ça, ils veulent des actions efficaces" dans la lutte contre le chômage.
    Sur le Contrat première chance, "la voie est tracée, et elle sera tenue", qui consiste à redonner aux jeunes sans qualification un accès à l'emploi, a dit Ségolène Royal. "Ceux qui ne seront pas d'accord seront associés à l'évaluation" du dispositif.
    Elle a estimé que le CPC n'avait "rien à voir, ni dans l'objectif, ni dans l'esprit", avec le Contrat première embauche (CPE), proposé puis retiré par le gouvernement de Dominique de Villepin en 2006 après des manifestations de centaines de milliers de personnes.
    tma/ol/def
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    A Carmaux, le meeting pour et par Jaurès de Ségolène Royal<O:P></O:P>

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    CARMAUX, Tarn-et-Garonne (Reuters) - Ségolène Royal a invoqué vendredi soir l'esprit de Jean Jaurès qui n'hésitait pas en son temps - comme elle - à "bousculer toutes les idées reçues".<O:P></O:P>

    A Carmaux, patrie de la figure tutélaire du socialisme dans le Tarn-et-Garonne, la candidate à la présidentielle a repris à son compte son "devoir d'invention" pour défendre ses dernières propositions, notamment le "contrat première chance".<O:P></O:P>

    Devant plusieurs centaines de personnes réunies dans la salle François Mitterrand, la présidente de Poitou-Charentes a commis un lapsus, évoquant le "contrat nouvelle chance", dans le sillage sémantique du "contrat nouvelles embauches" mis en place par le gouvernement Villepin. <O:P></O:P>

    Elle a surtout eu une pensée particulière pour le "Jaurès le plus hardi, le plus iconoclaste (...) celui qui houspillait fraternellement ses camarades en leur disant 'mais n'ayez peur d'aucune formule et d'aucune idée neuve'".<O:P></O:P>

    Une maxime à laquelle elle pense "chaque fois (qu'elle) lance une idée neuve - ô une idée qui paraît neuve - mais qui s'appuie simplement sur la volonté farouche de répondre à un certain nombre de problèmes".<O:P></O:P>

    "Quand je propose un contrat nouvelle chance (sic) j'entends dire que ce n'est pas possible et (...) 'oh lala ça va être compliqué' et 'qu'est-ce qui va se passer'. Et bien moi j'entends la leçon de Jaurès: 'N'ayons peur d'aucune idée. N'ayons pas peur d'essayer, d'avancer. Répondons d'abord aux problèmes, au désespoir'", a lancé Ségolène Royal.<O:P></O:P>

    "PARLER DE JAURÈS, C'EST PARLER DE NOUS"<O:P></O:P>

    Depuis son entrée en campagne, Nicolas Sarkozy multiplie les hommages à Jean Jaurès, éditorialiste de La Dépêche et député socialiste de Carmaux à la fin du XIXe siècle. <O:P></O:P>

    Vendredi soir, au milieu d'une tournée de trois jours dans le Sud-Ouest, Ségolène Royal s'est mise dans les traces de ce "fils d'un Tarn souvent rebelle" ayant "montré le chemin du socialisme du réel".<O:P></O:P>

    Jean Jaurès "reste pour moi le défricheur et l'éclaireur d'un combat toujours actuel pour que la République tienne sa promesse de liberté, d'égalité et de fraternité", a-t-elle poursuivi, démentant évoquer son souvenir "par nostalgie" ou "parce que ce serait ici un exercice obligé".<O:P></O:P>

    "Parler de Jaurès, c'est parler de nous", a-t-elle lancé à la foule, d'où dépassaient plusieurs grands drapeaux tricolores.<O:P></O:P>

    "Ici à Carmaux (ndlr, théâtre de grandes grèves minières et berceau de plusieurs organisations syndicales), on sait ce que lutter veut dire et cette lutte n'est pas terminée face aux nouveaux défis", a souligné Ségolène Royal.<O:P></O:P>



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  • Nicolas Sarkozy prend quelques conseils auprès d’experts politiques très divers, même le président gabonais Omar Bongo.

    SARKOZY ET BONGO

    François Bayrou et Dominique de Villepin ont aussi profité des lumières du président gabonais. «La sagesse du Président Bongo est toujours importante pour la diplomatie française» souligne même Dominique de Villepin dans cette vidéo.
     
    Quand les hommes politiques français s'intérressent aux Hommes d'Etats africains surtout en pleine campagne électorale, il faut se dire qu'il y a un autre intérêt en jeux surtout quand il s'agit d'un pays pétrolier comme le Gabon.
    Le paradoxe est que Mr SARKOZY avait déclaré dans un pays africain que:<<nous n'avons pas besoin de vous>>, comble de l'ironie!!!

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  • Présidentielle: la campagne officielle s'ouvre lundi, meetings en tous lieux

    08/04/2007 08h29

    Les douze candidats à la présidentielle 2007
    ©AFP/Archives

    PARIS (AFP) - La campagne officielle pour l'élection présidentielle commence lundi, avec ses affichages et son cortège d'émissions sur les radios et télévisions publiques, lançant une semaine qui verra se multiplier les meetings.

    Dans cette dernière ligne droite avant le premier tour du 22 avril, entre en vigueur la stricte égalité du temps de parole et d'antenne pour les douze candidats, à des horaires comparables, ce qui implique une discipline de fer.

    Depuis le 20 mars, la presse audiovisuelle était tenue d'appliquer l'égalité du temps de parole.

    A partir de lundi, elle doit aussi respecter l'égalité de temps d'antenne, soit "l'ensemble des éléments éditoriaux consacrés à un candidat et à ses soutiens", a recommandé le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel.

    L'égalité se traduira aussi par des conditions d'antenne comparables: plus question d'écluser les "petits candidats" en leur donnant longuement la parole à des heures désertées par les spectateurs.

    Le même principe d'égalité s'appliquera entre les deux tours.

    Lundi matin commence aussi la diffusion, sur les chaînes du service public, des émissions télévisées ou radiophoniques produites par les candidats.

    Soit, pour chacun d'entre eux, 45 minutes de temps de parole, fragmentées en clips de trois formats (1 minute, 2 minutes et demie et 5 minutes et demie) diffusés sur France 2, France 3, France 4, France 5, RFO (radio et télévision), France Inter et RFI.

    José Bové, qui a confié la réalisation de sa campagne à l'animateur Karl Zéro, ouvre le bal, selon le tirage au sort effectué jeudi par le CSA.

    L'ouverture de la campagne officielle se traduit aussi par l'apparition des affiches des candidats sur les panneaux officiels installés dans toutes les communes de France, à proximité des 85.000 bureaux de vote.

    Grande première - et signe aussi d'un recul du militantisme - c'est une société privée, le groupe américain Clear Channel, numéro 1 mondial de l'affichage publicitaire, qui a obtenu de tous les candidats le droit de coller ces affiches: près d'un million au total.

    Un contrat juteux de trois millions d'euros pour la filiale française de l'entreprise texane dont les salariés ont suspendu vendredi une grève commencée lundi à l'appui de revendications salariales.

    L'affichage, qui commencera à 00H00 lundi, sera "réalisé en temps et en heure", a assuré Clear Channel.

    Plus que jamais les candidats sillonneront la France : Nicolas Sarkozy sera en Indre-et-Loire mardi, à Toulouse jeudi, Ségolène Royal à Metz mercredi, François Bayrou se rendra successivement dans le Pas-de-Calais (mardi), à Angers, Marseille, Besançon, Limoges.

    Olivier Besancenot fera preuve d'une grande mobilité: Limoges le 10, Lille le 11, Rouen le 12, Marseille le 13, Montpellier le 14.

    Alors que Marie-George Buffet passera de Lille mardi à Nîmes vendredi, José Bové achèvera une semaine très remplie par un meeting dominical dans la capitale.

    Ce même 15 avril, Jean-Marie Le Pen a réservé le Palais des sports à Paris.

    Après Bayrou, Buffet ou Besancenot, ce sera au tour de Dominique Voynet de rallier la Corse mardi, avant Grenoble et Caen.

    Dijon, Amiens, Rennes sont sur l'agenda de Gérard Schivardi, la Gironde et Amiens sur celui de Frédéric Nihous, Nancy et Nantes sur celui de Philippe de Villiers.

    Agenda en revanche peu chargé pour le président Chirac: mercredi, il déjeune avec le roi Abdallah II de Jordanie, puis se rend au siège de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) dont il a voulu la création. Son président, Louis Schweitzer, lui remettra son deuxième rapport annuel. Jeudi, il déjeune avec le président sud-africain Thabo Mbeki.

    Présidentielle-2007,PREV

    France: à 15 jours du scrutin présidentiel, le suspense reste entier

    Par Eric BASSI et Tristan MALLE


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  • «Je crois que je ne l'ai jamais rencontré»

    Le ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances Azouz Begag le 15 mars 2006 à l'hôtel Matignon à Paris

    Pierre Verdy AFP ¦ Les "jeunes des banlieues n'ont pas peur du CPE" car ils "en ont assez de la précarité", déclare le ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances Azouz Begag en redisant qu'il faut "donner une chance" au Contrat première embauche, dans une tribune publiée vendredi dans Libération.

     
    Il n’a jamais dit ça. Nicolas Sarkozy a répliqué vendredi à la violente attaque d’Azouz Begag qualifiant les accusations de ce dernier de «mensonge éhonté». Dans son livre «Un mouton dans la baignoire», Azouz Begag affirme que Nicolas Sarkozy aurait menacé de lui «casser la gueule».
     
    «Je n'ai jamais dit cela à Azouz Begag pour une raison simple, c'est que je crois que je ne l'ai jamais rencontré», a rétorqué Nicolas Sarkozy sur i-télé: «Ce qu'il dit est un mensonge éhonté, ce ne sont pas mes méthodes».
     
    Dans son livre, Azouz Begag précise que Nicolas Sarkozy l'aurait ainsi menacé dans le cadre d'une discussion au téléphone.
     
    «Franchement il se donne beaucoup de mal pour se rendre intéressant, (...) il faut banaliser tout ça, ça n'a pas d'importance», a ajouté Nicolas Sarkozy, au sujet de l'ancien ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances, qui a démissionné jeudi.


    20Minutes.fr, éditions du 06/04/2007 - 19h34

    dernière mise à jour : 06/04/2007 - 19h34


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