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    Le Parlement adopte le budget de l’Etat exercice 2008

    Initialement arrêté à la somme de 1671 milliards de francs CFA, le budget de l’Etat exercice 2008 a été porté à la somme de1922, 1 milliards de francs CFA, soit une augmentation de 251 milliards de francs CFA. Cette augmentation répond aux contraintes et fluctuations du marché pétrolier. Après son adoption à l’Assemblée nationale, la semaine dernière, ce budget devrait être adopté en deuxième lecture le 11 février à Brazzaville par le Sénat.

    Cauchet Ngoulou/CSA du 11/02/2008

    Le réajustement du budget de l’Etat exercice 2008 fait suite à la proposition de la commission économie et finances de l’Assemblée nationale. Le surplus obtenu sera placé dans le chapitre de l’épargne budgétaire.

    Le budget de fonctionnement a été fixé à 858,5 milliards de francs CFA contre 881 milliards 558 millions de francs CFA comme retenu précédemment ; celui d’investissement a été porté à 471,8 milliards de francs CFA au lieu de 450 milliards de francs CFA.

    Dans l’ensemble le budget de l’Etat 2008 prend en compte l’achèvement des chantiers en cours dans le cadre de la municipalisation accélérée des départements, la municipalisation de Brazzaville, la poursuite des efforts déployés dans la lutte contre la pauvreté, la levée sur les effets des abattements des salaires des agents de l’Etat, la tenue des élections de 2008 et la préparation des conditions d’organisation du scrutin présidentiel en 2009.

    Ce budget porte également sur la mise en œuvre des actions permettant au Congo d’atteindre le point d’achèvement de l’initiative des Pays pauvres très endettés (PPTE).

    Il s’inscrit dans le cadre de la continuité du programme que le Congo a conclu avec les institutions financières internationales notamment la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI).



    Source: Congo-site.

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    Le Congo et la France signent un accord sur la gestion concertée des flux migratoires

    Un accord de gestion concertée des flux migratoires et de co-développement a été signé le 25 octobre à Brazzaville entre la République du Congo et la France. Cet accord prévoit la mise en place des stratégies communes susceptibles de réduire les migrations incontrôlées entre Brazzaville et Paris. Les deux parties étaient représentées par Basile Ikouébé et Brice Hortefeux, respectivement ministre congolais des Affaires étrangères et ministre français de l'Immigration, de l'Identité nationale et du Co-développement.

    csa du 26/10/2007

    Le Congo est le troisième pays africain à signer un accord relatif à la gestion concertée des flux migratoires avec la France, après le Sénégal en septembre 2006 et le Gabon en juillet 2007. Cet accord vise à instaurer un véritable partenariat avec les pays d'origine des flux migratoires.

    A l'instar des deux précédents, l'accord franco-congolais est conçu selon une approche comprenant trois volets indissociables à savoir l'organisation de la migration légale (circulation, visas, immigration de travail, accueil et séjour des étudiants), la lutte contre l'immigration illégale (réadmission des ressortissants en situation irrégulière, coopération policière en vue de la surveillance des frontières, démantèlement des filières de passeurs et la lutte contre la fraude documentaire), et le co-développement.

    Le texte prévoit la facilitation pour les personnes participant activement au développement des relations bilatérales (hommes d'affaires, artistes, intellectuels, sportifs), notamment en ce qui concerne la délivrance de visas de courts séjours à entrées multiples dits de ’’circulation’’.

    «C’est un outil essentiel au service du partenariat, du nouvel accord de gestion des flux migratoires que la France souhaite instaurer de manière concertée avec les pays d’origine. Les personnes qui contribuent par leur fonction au développement des relations franco congolaises disposeront des facilités recrues en leur accordant des visas de circulation valables jusqu’à 5 ans pour les voyages qu’elles seront à mener à effectuer de manière régulière entre Brazzaville et Paris. Les diplomates bénéficieront pour leur part d’une liberté totale de circulation pour une durée de 2 ans dans un premier temps qui pourra évoluer à l’avenir», a expliqué M. Hortefeux.

    Pour ce qui est des étudiants et l'immigration de travail, les autorités françaises s'engagent concernant la première catégorie, à créer au Congo en 2008, un Espace Campus France et à offrir aux étudiants congolais la possibilité de parfaire leur formation par une première expérience professionnelle dans leur pays.

    A propos de la deuxième catégorie, l'accord prévoit, pour les jeunes professionnels âgés de dix-huit à trente-cinq ans, la possibilité d'améliorer leurs perspectives de carrière en leur offrant une expérience de travail salarié en entreprise en France pour une période n'excédant pas les dix-huit mois. Les problèmes ayant trait à la réadmission des ressortissants en situation irrégulière, aussi bien des nationaux que ceux des pays tiers ayant transité par le territoire de l'une ou l'autre partie, à la coopération policière entre les deux pays et à l'aide au développement, sont également abordés dans cet accord.

    Abordant les problèmes de développement et de co-développement, M. Hortefeux a fait savoir que son pays s'est proposé de mettre en place un projet d'appui à la création des Très petites entreprises (TPE) par des migrants congolais pour aider les jeunes entrepreneurs à se former et à s'installer au pays après leur expatriation. Une enveloppe d'un montant de 1,2 million d'euros a été consacrée par la France pour ce type d'actions et couvrira la période 2008-2010.

    Sur l'aide au développement, le Gouvernement français a retenu deux secteurs prioritaires : l'appui au secteur de la santé et le développement de la formation professionnelle et technique. En ce qui concerne la question des tests ADN, M. Hortefeux a signifié qu’il n y a aucun point sur une disposition de ces tests ADN sur l’accord qui vient d’être signé.

    De son côté, le ministre congolais des Affaires étrangères a indiqué que la portée du document allait au-delà du cadre bilatéral, ajoutant que des dispositions sont en train d’être prises pour le contrôle des flux migratoires. «Les autorités congolaises sont en train d’élaborer de nouveaux passeports de service, diplomatique et ordinaire qui seront sécurisés. Nous allons disposer des documents fiables pouvant nous permettre de gérer cette situation des flux migratoires. D’ici la fin de l’année, ces documents seront mis en circulation», a-t-il indiqué.

    Selon M. Ikouébé, cet accord répond aux préoccupations des deux Gouvernements concernant la circulation des personnes, l'admission au séjour, la réadmission des personnes en situation irrégulière, la coopération policière, le co-développement et l'aide au développement. «L’accord relatif à la gestion concertée des flux migratoires et au co-développement vient, à point nommé, ajouter une pierre à l’architecture déjà riche des relations de coopération et d’amitié qui lient nos deux pays», a-t-il renchéri.

    Le document a été paraphé en présence du ministre à la présidence chargé de la Coopération, de l'Action humanitaire et de la Solidarité, Charles Zacharie Bowao, du ministre de la Sécurité et de l'Ordre public, Paul Mbot, et des ambassadeurs du Congo en France, Henri Lopes et de France au Congo, Nicolas Normand.

    Source: Congo-site.

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    Le ministre français en charge de l’immigration attendu à Brazzaville

    Le ministre français chargé de l’Immigration, Brice Hortefeux foulera le sol congolais le 24 octobre prochain. L’annonce a été faite le 15 octobre à Brazzaville par l’ambassadeur de France au Congo, Nicolas Normand, au terme d’une audience avec le Président de la République Denis Sassou-Nguesso. M. Hortefeux viendra expliquer aux autorités congolaises la nouvelle politique française en matière d’immigration, notamment avec les tests ADN.

    CSA du 17/10/2007

    «J’ai informé le Président Sassou-Nguesso de l’état actuel de la législation française en lui expliquant que beaucoup de précautions ont été prises. Par exemple, les tests ADN ne s’appliqueront qu’entre la mère et l’enfant pour éviter qu’un père découvre par l’occasion qu’il n’est pas le père biologique de son enfant. D’autre part, ce sera uniquement sur une base volontaire, c’est-à-dire, qu’il faudra que la mère demande un test au cas où l’administration française considère que l’acte d’état civil est un faux document», a indiqué M. Normand.

    Pour le diplomate français, avec la loi sur l’immigration choisie, il y a la possibilité de visas de travail qui donnent une possibilité aux étrangers de venir travailler en France. «C’est le bon côté de l’immigration dite choisie, il vaut mieux l’appeler immigration concertée. M. Hortefeux viendra signer ici un accord sur l’immigration concertée, la gestion concertée des flux migratoires», a-t-il expliqué.

    Lors de sa visite à Paris en juillet dernier, le Chef de l’Etat congolais et son homologue français, Nicolas Sarkozy ont parlé de l’augmentation de l’enveloppe de coopération française en République du Congo, tenant compte des priorités du Congo en matière d’infrastructures, notamment le Port autonome de Pointe-Noire (PAPN), le Chemin de fer Congo océan (CFCO), les transports fluviaux, le Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Brazzaville, l’eau et l’assainissement à Brazzaville, etc.

    «Nous sommes en train de discuter avec la partie congolaise. Je voulais que le Président soit informé du nouveau Document cadre de partenariat (DCP) pour les cinq années à venir, afin de mieux préciser et d’augmenter les moyens que nous avions consacrés à la coopération française», a signifié M. Normand.

    Source: Congo-site.

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