• Ségolène Royal le 24 septembre au grand journal de Canal+



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  • Les motions pour le congrès de Reims ont été déposées

    Le 23 septembre 2008

     Le 23 septembre, six motions ont été déposées à l’occasion d’un conseil national de synthèse à la Mutualité à Paris, en vue du Congrès de Reims des 14, 15 et 16 novembre. Six textes sur lesquels les militants seront invités à voter le 6 novembre. Bertrand Delanoë est le premier signataire de la motion A, le pôle écologique, représenté par Christophe Caresche défend la motion B ; Benoît Hamon a déposé la motion C ; Martine Aubry porte les couleurs de la motion D ; Gérard Collomb est à la tête de la motion E ; et Franck Pupunat d’Utopia est dépositaire de la motion F. À titre de comparaison, cinq motions étaient en lice au Congrès du Mans en 2005.

    Motion E - Premier signataire : Gérard Collomb

     

    Motion A - Bertrand Delanoë
    Motion B - Pôle écologique
    Motion C - Benoît Hamon
    Motion D - Martine Aubry
    Motion E - Gérard Collomb
    Motion F - Franck Pupunat

    Toutes les motions seront disponibles dès vendredi sur www.parti-socialiste.fr et dans le  numéro de L'hebdo des socialistes daté du 4 octobre.


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  • AFGHANISTAN : NON A LA "DERIVE"

    Les députés socialistes ont voté "non" au maintien des troupes françaises en Afghanistan, lors du débat avec vote qui s'est tenu à l'Assemblée nationale le 22 septembre. Le PS "n'accepte plus la dérive à l'oeuvre", le glissement du conflit "vers une guerre d'occupation". Et le gouvernement n'a pas apporté les garanties que demandaient les socialistes concernant la réorientation de la stratégie militaire de l'OTAN, la mise en oeuvre d'une direction politicomilitaire équilibrée et non dirigée par les seuls Américains au sein d'une coalition élargie, la relance d'un dialogue politique entre Afghans et la clarification de la situation au Pakistan et l'établissement d'un calendrier.
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    L'édito de François Lamy
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    Décryptage : la position des députés socialistes
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    Le conflit en 6 questions
    - Lire le dossier de L'hebdo

     


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  • Sénat: un peu plus à gauche, mais toujours à droite

    Reportage sur les élections sénatoriales.  Durée: 1mn38.
    Un peu plus à gauche, mais toujours à droite. Les partis de gauche ont enregistré une poussée au Sénat lors des élections sénatoriales de dimanche, mais sans renverser l'équilibre politique de la Haute Assemblée, qui restera à droite. La majorité devait contenir cette dynamique grâce à la surreprésentation des petites communes rurales traditionnellement conservatrices, et aussi par la création de 12 nouveaux sièges.

    Dans ce renouvellement d'un tiers de la Haute assemblée, 114 sièges étaient en jeu dans 39 départements, 4 collectivités d'Outre-mer et au sein du collège des Français de l'étranger (4 des 12 élus). 40 étaient à pourvoir à la proportionnelle et 74 au scrutin majoritaire à deux tours. Selon un décompte établi par l'AFP, la gauche a progressé d'au moins 23 sièges (19 PS, 3 PRG et 1 PCF).

    Chevènement élu, Paillé non

    Parmi les nouveaux prétendants, l'ancien ministre Jean-Pierre Chevènement (MRC) a gagné son pari, battant le PS Yves Ackermann dans le Territoire de Belfort. Au contraire, le porte-parole de l'UMP Dominique Paillé a mordu la poussière dans le collège des Français de l'étranger. L’ancien ministre de la Défense, Charles Millon, a été également battu lors du deuxième tour de l'élection sénatoriale dans l'Ain, où le PS a remporté deux des trois sièges.

    Les «surprises»

    L'UMP a gagné le nouveau poste créé en Haute-Garonne (une terre pourtant nettement à gauche) Eure-et-Loir, Herault, et dans les deux îles caraïbes de Saint Barthélémy et Saint Martin. Le PS a ravi à la droite deux sièges à l'UMP et un au centre en Ille-et-Vilaine, le siège supplémentaire créé en Gironde et dans les Bouches-du-Rhône. Il s'immisce dans les très droitières Alpes-maritimes en s'emparant du nouveau siège.

    Féminisation?

    A la faveur du renouvellement du Sénat, les femmes espéraient y passer la barre des 20% avec notamment l'arrivée de Marie-Hélène Des Esgaulx (UMP, Gironde) et de Samia Ghali (PS, Bouches-du-Rhône). Si ce taux est atteint, c’est l'Assemblée nationale qui sera à la traîne, à seulement 18% d'élues.

    La vraie bataille, celle du perchoir

    Dès dimanche soir, la bataille pour la présidence du Sénat qui se joue au sein de l'UMP, devait redoubler d'intensité entre les deux favoris Jean-Pierre Raffarin et Gérard Larcher et l'outsider Philippe Marini, avec une primaire au groupe majoritaire, mercredi, pour les départager.

    AFPTV ¦ Reportage sur les élections sénatoriales. Durée: 1mn38.

     
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    avec agence


    20Minutes.fr


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  • Ségolène Royal - Parti Socialiste Cannes
     



    Chères amies, chers amis,

     

    Comme vous le savez, nous organisons un grand Concert de la Fraternité au Zénith de Paris, le samedi 27 septembre, de 18 à 22 heures.


    Pourquoi le Zénith le 27 septembre ?

    Il s'agit d'abord d'un engagement que j'avais pris après la campagne présidentielle pour remercier les électeurs et les artistes de leur mobilisation exceptionnelle. C'est une façon d'exprimer ma reconnaissance et de faire vivre l’esprit joyeux et populaire que fut le 1er mai 2007 de Charléty. Les élections législatives et municipales qui ont suivi n’ont pas permis d’organiser cet évènement plus tôt.

    Avec Désirs d’avenir, nous avons toujours pensé que la dureté de la politique n’est pas une fatalité et que les moments de rencontres joyeuses et musicales sont indispensables, là où se mêlent l’aspect festif et la réflexion politique ou sociale, la joie et le sérieux. Dans une France où la plupart des catégories sociales prennent chaque jour un nouveau coup sur la tête, les militants, les sympathisants et les citoyens veulent partager des moments où ils se retrouvent ensemble. Unis.

    Nous avons organisé ce rassemblement avec l’objectif de donner du plaisir et de l'émotion artistique. C'est essentiel pour que la politique ne se dessèche pas. Nous nous sommes trop souvent contraints à des codes un peu désuets, à des rites plutôt archaïques qui assèchent la créativité, la spontanéité, et, au final, la pensée politique. Le chant, la littérature, la danse, le cinéma sont de merveilleux moyens d'ouvrir nos coeurs. C’est pourquoi nous vous présenterons des courts-métrages, des reportages ou encore des pièces de théâtre, dont une création d’Ariane Mnouchkine.


    Comment sera financé ce grand concert ?

    Des artistes viennent spontanément par amitié, notamment Trust, Cali, Alpha Blondy, Princess Aniès, Neg’Marrons, Hervé Villard, Da Silva, Adrienne Pauly, Georges Moustaki, Patrick Fiori, Julie Delpy, Traits d’union, Phil Darwin, Thomas N’Gijol, Alexis Rault, Patrice Maktav, etc.

    Le financement de ce concert est militant. Merci à tous ceux qui, par leurs dons généreux sur le site de Désirs d’avenir, ont déjà permis d’engager la préparation de ce grand rassemblement. Ils recevront un badge qui leur permettra d’entrer au Zénith. Ce badge, aux couleurs du concert, sera également disponible à l’entrée du Zénith le jour même : une participation militante aux frais de 10 euros (ou plus) est souhaitée. Tout cela nous permettra de couvrir les dépenses inhérentes à l’organisation d’un tel événement.

    Rendez-vous, donc, samedi 27 septembre au Zénith de Paris, de 18 heures à 22 heures.

    Venez nombreux !


    Ségolène Royal

    Source:desirsdavenir.com


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