• Une proposition phare : un tramway pour Ris Pour les élections municipales des 9 et 16 mars 2008 votez la liste rispourtous à Ris-Orangis conduite par notre maire et tête de liste Thierry Mandon. C'est la seule liste représentative de Ris-Orangis dans sa diversité. Vous trouverez sur le lien ci-dessous le projet que nous proposons aux rissois et en pages 22 et 23 toutes les photos des candidats de notre liste dont bien sûr moi même betrand Kissangou.

    Les 42 pages de notre projet pour ris en pdf en cliquant ici


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    Sondage : Nicolas Sarkozy au 36ème dessous
    Sondage : Nicolas Sarkozy au 36ème dessous

    (Europe1, 19/02/2008, 19h16)

     

    Nicolas Sarkozy poursuit sa chute de popularité, perdant 9 points de bonnes opinions en février avec seulement 36% de satisfaits, contre 45% en janvier, selon un sondage réalisé par BVA pour Orange et l'Express à paraître jeudi.

    C'est ce qui s'appelle un "effet toboggan"... Nicolas Sarkozy subit une nouvelle chute importante de popularité, à 36% de bonnes opinions, en recul de 9 points en un mois, dans un sondage BVA-Orange-L'Express à paraître jeudi, dernière d'une série d'enquêtes montrant une forte baisse de son approbation dans l'opinion. Parallèlement à ce dévissage (le président de la République était à 45% d'opinions favorables en janvier), Nicolas Sarkozy voit son taux de mauvaises opinions bondir de dix points, à 58%. Il y a donc inversion presque exacte de l'opinion à son égard, selon ce sondage, puisque le chef de l'Etat était, en septembre 2007, à 57% de pour et 33% de contre.

    Une baisse qui inquiète nombre d'élus de la majorité à moins de trois semaines des municipales, d'autant que selon BVA, le président Sarkozy perd 10 points chez les sympathisants UMP (à 81%), 17 chez ceux "de droite" (à 63%), ceux du FN étant désormais majoritairement mécontents. Interrogés sur le camp politique dont ils souhaitent le renforcement à l'issue des municipales, les Français répondent, selon BVA, à 37% l'opposition de gauche, 28% la majorité présidentielle, 11% l'opposition centriste. Cependant, 24% ne se prononcent pas.

    La cote de popularité du Premier ministre François Fillon est légèrement orientée à la hausse : 44% contre 43% le mois précédent. Son taux de mauvaises opinions fléchit sensiblement, à 40% contre 43%.

    "Nicolas Sarkozy atteint un niveau d'impopularité rare pour un président de la République", commente le directeur de BVA, Jérôme Sainte-Marie, citant François Mitterrand, mais après trois ans de mandat, ou Jacques Chirac, cinq mois à peine après son élection en 1995. Il y voit "pour l'essentiel" le résultat du "choc entre d'une part des résultats décevants sur l'enjeu majeur des élections précédentes (pouvoir d'achat) et d'autre part une attitude présidentielle interprétée par l'opinion comme un revirement (ou simplement un désintérêt)".

    Face à ce décrochage, la majorité a resserré les rangs autour du chef de l'Etat, attaquant notamment violemment un "appel à la vigilance républicaine" publié samedi dans l'hebdomadaire Marianne. Ce texte, qui met en cause sans le nommer la pratique du pouvoir par Nicolas Sarkozy, a été signé par un attelage inédit réunissant Ségolène Royal (PS), François Bayrou (MoDem) ou l'ex-Premier ministre UMP Dominique de Villepin. Coalition de "revanchards" fleurant bon le "conservatisme", a répliqué la majorité, François Fillon s'insurgeant contre une "chasse au président de la République".

     



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  • Villiers-le-Bel : " Vous ne prendrez pas mon deuxième enfant !"

    Ce midi à Villiers-le-Bel, une vingtaine de policiers sont entrés en force chez les Samoura, encore en deuil du petit Laramy.

    Les proches et la famille nous reçoivent complètement sous le choc. A 12h30, Monsieur Samoura et sa famille étaient en train de déjeuner quand ils ont vu les policiers du GIPN et du RAID débarquer pour interpeller Mamadou, le grand frère du défunt Laramy. Des débris jonchent le sol et montrent la violence de l’interpellation. Le père a été bousculé, la mère qui portait un enfant a été poussée au sol. "Quand ils sont venus, j’ai dit aux policiers : Vous m’avez déjà pris un fils, vous ne me prendrez pas le deuxième". Le quartier déjà secoué par une série d’interpellations à 6 heures du matin ne comprend pas l’absence de respect du deuil de la famille Samoura. En quittant l’immeuble entouré par une soixantaine de policiers en tenue anti émeute, on ressent une extrême tension. 


    Villiers le Bel: le père et la soeur de Laramy

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  • Ségolène à Tours

    Ségolène Royal dénonce lundi "une opération policière médiatisée" après l'importante intervention des forces de l'ordre à Villiers-le-Bel


    Une opération de police, mobilisant près d'un millier de membres des forces de l'ordre, a été engagée lundi matin à Villiers-le-Bel afin d'interpeller les auteurs de violences contre des policiers survenues fin novembre dans cette ville. Trente-trois personnes ont été interpellées, selon la police.

    Ségolène Royal estime qu'il s'agit en effet "d'un dysfonctionnement grave de la République".

    "Ce qui m'étonne, c'est qu'il y a eu, semble-t-il, des caméras pour accompagner les forces de police. On connaît ça maintenant avant chaque échéance municipale, je crois que c'est un dysfonctionnement grave de la République",déclare-t-elle déclare-t-elle sur France Inter.

    "Quand des caméras accompagnent des opérations policières massives en période municipale, c'est une façon d'influencer l'opinion, de vouloir faire peur. Il ne faudrait pas que la campagne électorale des municipales donne lieu à des opérations policières médiatisées" insiste-t-elle.

    Pour Ségolène Royal,"le président de la République en revient au vieux réflexe de politique spectacle sécuritaire, parce que là où il échoue sur le plan économique et social, il veut faire croire qu'il continue à maîtriser les choses sur la question de la sécurité, ce qui n'est pas le cas".

    "J'espère que les Français vont sanctionner par leur vote ce type de manipulation".

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  • Où va le président Sarkozy ?

    par  RFI

    Article publié le 18/02/2008 Dernière mise à jour le 18/02/2008 à 04:21 TU

    Seuls 41% des Français considèrent que Nicolas Sarkozy fait un bon président, contre 52% qui pensent le contraire, selon un sondage de l'institut CSA pour le journal Le Parisien / Aujourd'hui en France. Les principaux membres du gouvernement, qui font bloc autour de lui, ont beau affirmer le contraire, les projets du chef de l'Etat semblent avoir du mal à passer dans l'opinion. On lui reproche une trop grande improvisation.

    Le président de la République, Nicolas Sarkozy.(Photo : Reuters)

    Le président de la République, Nicolas Sarkozy.
    (Photo : Reuters)

    On n'a plus vu Nicolas Sarkozy en Ray Ban depuis les dernières photos autorisées prises au lendemain de son mariage. Fin d'une séquence people qui n'avait que trop duré, aux yeux de nombreux Français. Mais la cote de popularité du chef de l'Etat ne s'en porte pas mieux.

    Au-delà du style, au-delà aussi de la désastreuse affaire de Neuilly, c'est en effet la méthode Sarkozy qui commence à faire débat. Derniers exemples en date : le parrainage d'une jeune victime de la Shoah par un élève de 10 ans. Une proposition annoncée sans concertation, jugée « insoutenable » par l'ancienne déportée Simone Veil, et que l'Elysée se dit désormais prête à aménager.

    Quant à l'avenir de l'audiovisuel public, ébranlé par l'annonce tonitruante de la suppression de la publicité, il va désormais faire l'objet d'une commission (une de plus). Les réformes sont annoncées, pour aussitôt être amendées, ou enterrées.

    L'impatience grandit. Les parlementaires de la majorité réclament de la cohérence et des priorités. Les Français eux-mêmes, selon les sondages, sont de moins en moins nombreux à « savoir où va le président ».

    Où est donc la rupture avec le précédent quinquennat ? Réponse amère d'un déçu du sarkozysme, le philosophe Pascal Bruckner : Nicolas Sarkozy, dit-il avec regret, pourrait devenir « un Chirac en Ray Ban ».


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