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    Ségolène Royal sur France Inter à 8h20, lundi 18 février


    Ségolène Royal sera l'invitée de Nicolas Demorand lundi 18 février à 8h20 sur France Inter.

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  • Villepin, Royal, Bayrou signent un appel "pour une vigilance républicaine"

    Dominique de Villepin, le 27 juillet 2007 à P	aris

     


    Francois Guillot AFP/Archives ¦ Dominique de Villepin, le 27 juillet 2007 à P aris

     

    Des personnalités se réclamant de "sensibilités très diverses", dont l'ex-Premier ministre (UMP) Dominique de Villepin, Ségolène Royal (PS) et François Bayrou (MoDem) signent "un appel du 14 février pour une vigilance républicaine" publié dans l'hebdomadaire Marianne.

    Affirmant avoir "en commun un certain nombre de convictions et de valeurs", ils entendent notamment réaffirmer "leur attachement au principe républicain" et "leur refus de toute dérive vers une forme de pouvoir purement personnel confinant à la monarchie élective".

    Ils rappellent également "leur attachement aux fondamentaux d'une laïcité ferme et tolérante", "à l'indépendance de la presse et au pluralisme de l'information" et enfin "à une politique étrangère digne, attachée à la défense des droits des peuples, soucieuse de préserver l'indépendance nationale et de construire une Europe propre à relever les défis du XXIe siècle".

    La ministre de l'enseignement supérieur Valérie Pécresse (UMP) a affirmé samedi matin sur France Info qu"elle ne voyait "vraiment aucun risque peser sur la République" après la publication de cet appel.

    "C'est scandaleux, assure la ministre de l'Enseignement supérieur, d'instrumentaliser la République pour masquer un vide d'idées et un manque de vision de la France au moment où le président de la République est en train de lancer un grand processus de réforme des institutions".

    Sans mentionner le nom de Nicolas Sarkozy, cet appel reprend nombre de critiques formulées contre le style de gouvernement ou les grands thèmes défendus par le chef de l'Etat, comme son discours sur la religion.

    Parmi les dix-sept signataires, figurent des personnalités de presque tout l'échiquier politique comme le maire PS de Paris Bertrand Delanoë, l'ancien ministre Jean-Pierre Chevènement (MRC), les députés Arnaud Montebourg (PS), Noël Mamère (Verts), André Gérin (PCF), Jean-Pierre Brard (app-PCF), Nicolas Dupont-Aignan (souverainiste), ou Maurice Leroy (Nouveau centre).

    Reconnaissant avoir "sur un certain nombre de sujets importants des positions très différentes", les signataires, en tête desquels figure l'ancien chef de cabinet du général de Gaulle, Pierre Lefranc, s'engagent "à défendre séparément ou ensemble ces impératifs comme toujours ce fut fait au cours de l'histoire de la République".

    Francois Guillot AFP/Archives ¦ Dominique de Villepin, le 27 juillet 2007 à P aris

     
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    © 2008 AFP


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  • Notre projet pour Ris-Orangis - par Thierry MANDON

    Madame, Mademoiselle, Monsieur,

    Depuis 2 mandats, entouré d’une équipe d’élus engagés et compétents, je suis passionnément dévoué, avec énergie et  cœur, à notre commune. Il y eut des joies : le  nouveau marché, la suppression du passage à niveau du Bas, l’accueil de nouveaux habitants dans de nouveaux quartiers ou encore, à chaque rentrée scolaire, le visage des enfants retrouvant des écoles rénovées durant l’été.

    Il y a eu des douleurs aussi et parmi celles-ci, ce dernier mandat, la perte d’Odette Metz, de Marc Jeanson et de Jérôme Poudrille, élus de notre commune.

    Reste désormais un bilan : celui d’une commune en mouvement, où il fait bon vivre ensemble, une ville humaine qui a su conserver un peu du village qu’elle fut antan, une ville d’aujourd’hui, redevenue attractive, où la population s’accroît  doucement en rajeunissant. On peut être fier de ce bilan mais on ne doit pas s’en satisfaire. Plus que jamais, il faut redoubler d’efforts, parce que les difficultés à se loger, se déplacer, travailler, vivre bien touchent de très nombreux Rissois. Parce que l’État se désengage, parce que de nouveaux défis se posent à notre commune. Notre projet, pour les 6 ans à venir, c’est donc d’abord la volonté de redonner un nouvel élan à notre commune.

    Réussir, évidemment, les grands changements engagés pour notre ville : nouvelle piscine, nouveau centre culturel Robert Desnos, réhabilitation du Plateau, redynamisation du Bas, Docks des Alcools, coulée verte...

    Les chantiers ne manquent pas ! Mais s’engager, aussi, plus fort pour le logement, les transports en commun, la réussite à l’école et au collège, l’environnement, les actions en direction de la jeunesse et des retraités, la vie associative et des quartiers, la sécurité. Beaucoup d’idées nouvelles qu’il faudra réaliser avec les moyens dont nous disposons aujourd’hui.

    Pour incarner ce nouvel élan, l’équipe Ris pour tous a été largement renouvelée : la moitié des candidats sont nouveaux. Elle est ouverte sur notre vie locale, nos quartiers, nos associations. Elle ressemble à Ris-Orangis dans sa diversité.

    Ce qui est devant nous désormais, à travers ce nouvel élan : réconcilier chacun dans sa vie, ses exigences et ses responsabilités, avec tous.

    Dans notre commune, on doit avoir envie de vivre et de grandir ensemble.

    Voici notre projet, voici ses artisans.

    Découvrez-le comme un ensemble d’engagements que nous tiendrons.

    Découvrez-le aussi comme une invitation, celle de nous aider à bâtir, avec vous, ce projet que nous portons au cœur : Ris pour tous.

    Thierry Mandon

     
    Cliquez sur  le lien ci-dessous pour voir  les interviews des candidats en vidéos et photos puis notre programme pour la ville www.rispourtous.fr

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  • DDA A la une
    [14/02/08]

    Pour un "vote d'espérance" contre "l'inertie"


    Ségolène Royal à Villeurbanne
    Ségolène Royal a assuré jeudi 14 février à Villeurbanne que le vote aux municipales serait un "vote d'espérance", face à "l'inertie" gouvernementale et aux "désillusions", et a appelé Nicolas Sarkozy à "rendre des comptes" sur la banlieue.

    "Le vote pour les municipales est un vote d'espérance face à l'inertie du gouvernement actuel. On doit se mettre en mouvement dans ces élections municipales".

    "Je suis venue dans ces quartiers populaires où j'étais déjà venue lors de la campagne présidentielle pour dire aux habitants: je suis avec vous, je ne vous abandonne pas". "Je suis toujours là et nous allons agir ensemble".

    "Je sais que vous avez été cruellement déçus. Je sais que vous avez attendu des annonces de ce plan banlieue pendant huit mois".

    "Beaucoup de désillusion"

    "Il y a beaucoup de désillusion. La désillusion ne doit pas se transformer en désespoir", qui "conduit à la violence".

    "Quand le chef de l'Etat n'assume pas ses responsabilités et ne tient pas parole par rapport à ce qu'il avait annoncé -il avait annoncé un plan Marshall, où est ce plan Marshall ?- je dis: prenons-nous tous ensemble en mains, c'est pour cela qu'il faut aller voter pour des maires socialistes, des maires de gauche".

    "Je souhaite que Nicolas Sarkozy puisse venir rendre des comptes sur le plan annoncé. Je lui demande de venir dans six mois. En voilà assez de cette parole politique qui n'est plus suivie d'effet".

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  • Rama Yade à Colombes pour séduire à gauche

    Le président sénégalais Abdoulaye Wade, son homologue français Nicolas Sarkozy et La secrétaire d'Etat française aux droits de l'Homme, Rama Yade, le 26 juillet 2007 à Dakar

     

    Pascal Rossignol AFP/pool ¦ Le président sénégalais Abdoulaye Wade, son homologue français Nicolas Sarkozy et La secrétaire d'Etat française aux droits de l'Homme, Rama Yade, le 26 juillet 2007 à Dakar

     
    En danger sur ses terres, la maire UMP sortante de Colombes (Hauts-de-Seine) Nicole Goueta joue la carte Rama Yade. A l'occasion de la présentation de son programme et de ses colistiers jeudi, Goueta a affirmé avoir «redressé la ville», laissée dans un «état catastrophique» par les communistes en 2001.

    Avec l'installation de 61 caméras de vidéosurveillance et la mise en place d'une police municipale armée, Nicole Goueta a pour le moins une image sécuritaire difficile à gommer. La présence de la secrétaire d'Etat en charge des Affaires étrangères et des droits de l'Homme sur sa liste tombe donc à pic pour séduire les quartiers populaires de Colombes, là même où Rama Yade a grandi. «Ma réussite est un encouragement aux yeux des habitants», affirme la benjamine du gouvernement. Cette figure médiatique suffira-t-elle à séduire les Colombiens, qui depuis 2001 votent à gauche?

    Le PS affirme qu’un sondage CSA réalisé entre fin décembre et début janvier ne serait pas favorable à Nicole Goueta. «Rama Yade est une image prêtée pour la campagne, pour venir sauver la maire», analyse Philippe Sarre, candidat PS à Colombes. «A priori, au départ, elle n’avait pas vraiment envie de venir à Colombes. Mais avec Nicole Goueta, elles sont très opposées dans les styles, ce qui peut être une réelle stratégie», poursuit Laurent Trupin, candidat du MoDem. «Nous, nous faisons notre campagne tranquillement, sans avoir besoin de stars médiatiques», ironise Philippe Sarre.

    Selon lui, la baisse de la délinquance, dont se targe Nicole Gouta, est « générale en France ». Et attaque en affirmant que les difficultés dans certains quartiers de Colombe se sont déplacés, sans être résolus.

    «La gauche se donne déjà victorieuse. Mais le jeu est beaucoup plus ouvert qu’on ne le croit. Il y a encore beaucoup d’inconnus», souligne le candidat du MoDem, qui compte bien jouer l’arbitre entre les deux autres partis. Si le PS et l’UMP affirment aujourd’hui qu’ils ne procèderont à aucun ralliement au second tour, Laurent Trupin leur laisse la porte ouverte.

    Pascal Rossignol AFP/pool ¦ Le président sénégalais Abdoulaye Wade, son homologue français Nicolas Sarkozy et La secrétaire d'Etat française aux droits de l'Homme, Rama Yade, le 26 juillet 2007 à Dakar

     
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    Carole Bianchi


    20Minutes.fr, éditions du 14/02/2008 - 19h55


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