• 25/03 François Hollande : "Le prochain Premier secrétaire devra être un rassembleur"
    Deux semaines après les élections locales, dont la gauche, et plus précisément les socialistes, sont sortis vainqueurs incontestables, François Hollande explique comment son parti va mener la bataille de l'opposition. Le Premier secrétaire évoque aussi l'avenir et les conditions des alliances possibles, à gauche et au-delà, la nature du congrès qui aura lieu à l'automne, et le travail de rénovation en cours d'ici là.
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  • Signez "l’appel à la solidarité avec le peuple tibétain"

    Chers amis,

    Voici un appel à la solidarité avec le peuple tibétain, une fois encore victime de la cruelle répression de la part du gouvernement chinois. Je vous invite à ajouter votre nom à la liste des premiers signataires et à le faire circuler autour de vous. Vous pouvez ajouter votre nom en bas de cette page. Cet appel est à l’initiative de Jean-Paul Ribes, Irène Frain et Maren Sell.

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  • Ségolène Royal juge "tardif" le déroulement du prochain congrès du PS mais "ne veut pas se mêler des problèmes de calendrier".


    Interrogée sur la proposition de François Hollande mardi soir de réunir le congrès du 7 au 9 novembre,Ségolène Royal répond:"Je pense qu'il ne faut pas attendre novembre pour apporter des solutions alternatives, concrètes, aux Français. C'est ça qu'il faut bien faire comprendre. Ce calendrier paraît tardif. Mais l'opposition a son rôle à jouer dès maintenant", ses élus détenant la responsabilité de la gestion de la plupart des régions, départements et grandes villes.

    Elle ajoute qu'elle ne se "mêle pas des problèmes de calendrier ou de questions d'organisation interne. J'ai délégué pour cela François Rebsamen", son ancien directeur de campagne en 2007 et numéro 2 du PS.

    "Je crois que ma responsabilité, avec d'autres, c'est d'être prête le moment venu pour incarner une véritable alternative à ce qui se passe dans le pays. Mais dès maintenant, nous mettons en place une alternative sur les territoires"conclut Ségolène Royal.


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  • Le PS se déchire à nouveau

    Ségolène Royal et François Hollande à Paris, le 29 mai 2007

     

    A qui profitera la victoire du PS aux municipales et cantonales? Cette question provoque visiblement une certaine tension dans le parti. Le ségoliste Vincent Peillon a ainsi appelé vendredi François Hollande, potentiel candidat à la présidentielle de 2012, à ne pas utiliser la victoire à des fins personnelles. Il reproche au numéro un du PS d'avoir fait signer, à l'appui de sa stratégie, un texte par plus de quarante premiers secrétaires fédéraux.
     
    «Cette victoire, c'est celle de tous les socialistes, il ne faut pas l'utiliser à titre personnel, a déclaré le député PS. Ségolène Royal ne le fait pas, Bertrand Delanoë ne le fait pas, il ne faudrait pas que le Premier secrétaire le fasse. Il est le Premier secrétaire de tous les socialistes, pas de 45 premiers fédéraux. (…) C'est un texte de fraction», a ajouté l'élu, remonté.
     
    Vincent Peillon a affirmé par ailleurs que le calendrier choisi par François Hollande et fixant le congrès chargé de désigner son successeur au début novembre ne gênait pas Ségolène Royal, même si ses proches espéraient une date plus avancée, avant l'été.
     
    Jospin à la rescousse de Delanoë
     
    Et tandis que Vincent Peillon monte au créneau pour que Ségolène Royal puisse prendre la tête du parti, Lionel Jospin s’exprime dans une tribune dans «Le Monde». «Parmi leurs dirigeants actuels, les socialistes doivent choisir pour la porter à leur tête une personnalité dotée d'une culture et d'une expérience politiques indiscutables», écrit-il. Une critique implicite contre Ségolène Royal. Pour ce proche de Bertrand Delanoë, il faut au contraire «un chef de file reconnu qui mette chacun au travail». Il affine le portrait du leader souhaité «qui connaisse le PS et respecte ses militants. Qui ait la volonté de redonner à tous le sens de la réflexion et de l'action collectives pour faire des propositions cohérentes au pays». «Il faut au prochain Congrès, sans déchirements, mais après débat, choisir un leader, une équipe, une orientation», écrit-il, réfutant «un Premier secrétaire de transition».
     
    Dans «Le Monde» daté de mercredi, Jean-Christophe Cambadélis, un des chefs de file du groupe des «reconstructeurs», alliance de strauss-kahniens, de fabiusiens et d’amis d'Arnaud Montebourg et de Martine Aubry, avait déjà tendu la main à Bertrand Delanoë «s'il ne fait pas de sa candidature un préalable».

    Eric Feferberg AFP/Archives ¦ Ségolène Royal et François Hollande à Paris, le 29 mai 2007

     
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    Avec agences


    20Minutes.fr


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  • Interview de Jean-Marie Bockel pour 20minutes


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