• Si Ségolène était noire... Sarkozy le mal supporté...

    A quoi ressembleraient Sarkozy, Bayrou et Royal en noirs? Le Cran (conseil représentatif des associations noires) répond dans une campagne pour annoncer les états généraux des populations noires en France, vendredi et samedi. En échantillon, Ségolène Royal:

     

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  • Bayrou ne renonce pas à son débat sur l’Internet

    Le président de l'UDF, François Bayrou, le 28 janvier 2006 à Lyon

    Martin Bureau AFP/Archives ¦ François Bayrou, président de l'UDF, s'est prononcé jeudi pour un "rééquilibrage" de la procédure d'instruction, au lendemain de l'audition du juge Fabrice Burgaud devant la commission d'enquête parlementaire sur l'affaire d'Outreau.

     
    François Bayrou tient à son grand débat à quatre sur l’Internet. Sur France Info mercredi matin, il a dit espérer que «la pression des citoyens» fera revenir Nicolas Sarkozy sur son refus. «Je trouve que ce n'est pas logique et pas civique de sa part de dire non», ajoute Bayrou.

    La veille, le patron de l’UMP a en effet décliné l’invitation du candidat centriste à venir débattre sur le web avec Jean-Marie Le Pen, Ségolène Royal, alors que ces derniers s’y sont dit favorables. «Nous sommes à quinze jours du premier tour, je crois qu'il faut laisser les Français choisir les deux candidats pour le deuxième tour, et à ce moment-là il y aura des débats», a dit Nicolas Sarkozy devant la presse, avant de se rendre à une réunion publique à Lanester, près de Lorient.

    Un espace «pas limité» pour la parole

    Pour justifier son refus, Nicolas Sarkozy a critiqué la proposition de François Bayrou, expliquant qu’il s’agissait là de «contourner les règles» d'égalité fixées par le CSA, tout en reconnaissant qu’elles n’étaient «pas bonnes» et qu’il faudrait «sans doute les changer».

    François Bayrou ne conteste pas vouloir profiter de l’absence de règles sur le net, soulignant que l’Internet est en effet un espace «qui n’est pas limité» par l’égalité du temps de parole, contrairement à la télévision ou à la radio –argumenté soulevé par Nicolas Sarkozy pour refuser un débat sur les médias traditionnels, le jugeant impossible à 12 candidats.

    Mais si le candidat de l’UMP ne change pas d’avis, François Bayrou estime qu’il serait «impossible, inimaginable d'avoir un débat dont Nicolas Sarkozy serait absent».

    De nombreux médias Internet ont proposé leurs services dans l’oganisation de ce débat : 20minutes, RMC, Marianne, Agoravox, des blogs comme le Benito Report, Chistophe Ginisty, Embruns, etc… Même Daniel Schneidermann se pose en organisateur.
    Contacté par 20minutes.fr, Nicolas Voisin a accepté de couvrir l'événement en vidéo.


    20Minutes.fr, éditions du 04/04/2007 - 09h53

    dernière mise à jour : 04/04/2007 - 10h09


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  • Nicolas Sarkozy et Simone Veil au siège de l'UMP à Paris, le 8 mars 2007. | AFP/DOMINIQUE FAGET

    Simon Veil : un ministère de l'identité nationale est une idée plus qu'imprudente

    LEMONDE.FR avec AFP | 02.04.07 | 20h26  •  Mis à jour le 02.04.07 | 21h20
     
     
    imone Veil continue de soutenir Nicolas Sarkozy, mais aussi de contester son projet de"ministère de l'immigration et de l'identité nationale". "Pour moi, c'est plus qu'une imprudence. C'est plus grave. Je n'ai pas compris. D'abord, je trouve que la formule qu'il a employée est très ambiguë. On ne sait pas très bien ce que cela veut dire", déclare l'ancienne ministre centriste dans une longue interview publiée dans le numéro d'avril de Tribune juive.

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    Le 16 mars, celle qui avait officialisé huit jours plus tôt son ralliement au candidat de l'UMP s'était déclarée assez contrariée par la dénomination de ce ministère."Immigration et intégration cela m'irait beaucoup mieux", ajoutait Simone Veil, qui avait déjà jugé maladroit l'emploi des mots "racaille" et "Kärcher" par le ministre de l'intérieur, pour parler des banlieues.

    Pour autant, l'ancienne ministre estime dans Tribune juive que Nicolas Sarkozy est "un homme d'ouverture" et ne voit,"dans cette affaire, aucun clin d'œil à Le Pen". "Je ne serai pas déçue, assure-t-elle : Nicolas est gentil. Il peut être brutal dans son expression, mais les gens ont tort de douter de son humanité. C'est un ami fidèle."

    Au passage, Mme Veil égratigne de nouveau François Bayrou qui, affirme-t-elle, la "considérait comme une gauchiste" : "Je trouve qu'il n'y a pas de continuité dans son parcours politique. Il dit qu'il est centriste mais en fait il a totalement quitté le centrisme qui regroupe les parlementaires". Quant à la cote de popularité du candidat UDF, elle l'attribue au fait que "les gens en ont assez de la politique". "Et comme il n'a pas de programme et qu'il affirme que tout le monde va tirer ensemble la charrue, ça plait assez", ajoute-t-elle.


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  • Rumeurs insistantes sur les sondages<?XML:NAMESPACE PREFIX = O /><O:P></O:P>

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    Selon des rumeurs insistantes et convergentes recueillies auprès des QG de campagne des trois premiers candidats, les données brutes des sondages, depuis plusieurs semaines, donneraient Ségolène Royal vainqueur au second tour contre Nicolas Sarkozy.<O:P></O:P>

    Les annonces de victoire de Nicolas Sarkozy procèderaient donc de redressements faits à la main par les instituts.<O:P></O:P>

    Problème : les Français accordent désormais tellement d’importance aux sondages que l’annonce d’un passage en tête de Ségolène Royal aurait des effets indéniables sur le scrutin (pensent les sondeurs). Aucun institut n’ose être le premier à annoncer Ségolène Royal en-tête...<O:P></O:P>

    Mais on connaît ces chiffres rue d’Enghien, ce qui explique une certaine nervosité...<O:P></O:P>

    (Publié sur le site Betapolitique)

    S. Royal au Forum de ELLE

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    </O:P>

    http://www.
    clickoblog.com/ae468a209047ee56241ec8368eeb3ebf8
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  • voir l'image en grand                         

     

     

                        Un 21 avril 2002 est – il à prévoir ?

              

     

    Pendant longtemps, les médias nous ont parlé de deux candidats finalistes, oubliant ainsi l’ascension fulgurante de Bayrou. Est-ce l’idée de faire travailler la gauche et la droite ensemble qui séduit tant les les Français, créditant ainsi Bayrou de plus de 20% d’intentions de vote au premier tour ? ou tout simplement le vote sanction contre Sarkozy ou Royal. Comme en 2002, les médias oublient une éventualité Le Pen alors qu’il y a beaucoup de français qui sont encore indécis.

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    En effet, une majorité de français ne se reconnaissent en la politique répréssive de Sarkozy estimant que c’est la continuité en pire surtout après les malheureux évènements des banlieues de novembre 2005, d’autres estiment que Royal n’a pas encore la maturité nécessaire pour accéder à la majistrature suprême, oubliant par ailleurs qu’un président est entouré de conseillers et des ministres compétents dans leurs domaines de prédilection.

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     De ce fait, en suivant cette logique Bayrou apparaît paradoxalement comme l’homme idéal de la situation. Cependant, en faisant travailler la gauche et la droite ensemble, politique que prône Bayrou  l’opposition deviendrait de fait l’extrême Droite, puisque les parlementaires de gauche comme de droite auraient ainsi une même feuille de route  consistant à soutenir les idées du gouvernement en place.

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    L’échec d’un tel gouvernement, entraînerait une ascension fulgurante de l’extrême droite et Le Pen pourra ainsi se prévaloir d’être l’homme du vrai changement.

    Après la victoire à la coupe du monde de 1998, avec les cortèges Black-Blanc-Beur, nous avons cru pendant un laps de temps à une nouvelle France. Malheureusement, nous sommes très vite descendus de notre nuage, car la société est restée pleine d’inégalités, d’injustices et de discriminations.

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    C’est ainsi que le 21 avril 2002 dans le miroir de l’élection présidentielle, nous avons vu nos grimaces, nos rides, nos blessures.

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    Dans notre pays, ce n’est pas l’origine ethnique, la couleur de la peau, la religion qui définit l’appartenance à la patrie mais la citoyenneté. Etre français est le seul titre distinctif, qui nous fait citoyen. Le président de la République Jacques Chirac dans son allocution télévisée du 11 mars nous avait rappelé les valeurs républicaines (laïcité, égalité…) et avait souhaité que son successeur abonde dans ce sens.

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    En somme mobilisons-nous massivement aux urnes pour un vote juste et non un vote sanction pour éviter le crash du 21 avril 2002, journée de honte pour la France. Nous aurons de ce fait cette fois – ci un vrai débat d’idées au 2è tours.

     

    Bertrand Kissangou. 

    http://bertrand.over-blog.fr/

    http://www.etudiantcongolais.com/

     

    Souvenez vous du 21 avril 2002 avant de voter!


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