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    "Ma candidate" de Patrick Menucci sort demain.


    Le directeur de campagne adjoint expose sa vision de la campagne présidentielle.

    Il lui avait promis la victoire, il lui a annoncé la défaite… En janvier 2006, Patrick Mennucci s’envole avec Ségolène Royal pour le Chili. Elu socialiste essentiellement connu pour avoir piloté la campagne des européennes 2004 de Michel Rocard, ce Marseillais découvre la détermination solitaire d’une femme qui n’en est qu’à ses premiers pas sur la route de la candidature à l’Elysée. C’est le début d’une profonde amitié et d’une collaboration étroite, quasi-quotidienne, qui durera 18 mois.

    Expert des rouages du PS, Patrick Mennucci orchestre le ralliement des élus et la conquête des fédérations et des militants. Il est un de ceux qui ont permis à Ségolène de l’emporter face à Laurent Fabius et à Dominique Strauss-Kahn, lors d’une primaire dont la violence reste unique dans les annales de la gauche. Membre du premier cercle de la candidate, il est ensuite nommé directeur de campagne adjoint et participe à tous les combats contre Nicolas Sarkozy. Le soir du 6 mai, il est à côté d’elle lorsque du haut du balcon de la rue de Solferino, elle harangue des milliers de militants pour les réconforter…

    Fidèle entre les fidèles, d’une loyauté qui n’empêche pas la lucidité, Patrick Mennucci raconte de l’intérieur la campagne présidentielle de Ségolène, ce rendez-vous manqué qui en appelle d’autres. Un témoignage unique, riche en épisodes inédits, qui éclaire sous un jour nouveau la personnalité de celle qui a séduit 17 millions d’électeurs. Patrick Mennucci révèle les pièges qui ont surgi dans son propre camp et explique les raisons de l’échec. Son témoignage sincère permet de comprendre pourquoi Ségolène Royal restera au centre de l’échiquier politique dans les années à venir.
     


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  • Grand meeting contre les tests ADN
    SOS Racisme, en association avec Charlie Hebdo et Libération, organisent, dimanche 14 octobre à partir de 18h, un « meeting d'opposition à l'amendement Mariani » sur les tests ADN, au Zénith de Paris (XIXe). L’association annonce la présence de personnalités politiques, artistiques et scientifiques, signataires de la pétition telles que le maire PS de Paris Bertrand Delanoë, le Premier secrétaire du PS François Hollande, Ségolène Royal , Laurent Fabius, le centriste François Bayrou, l'ancien ministre UMP François Goulard et de l'ancienne ministre de l'Ecologie Corinne Lepage.

    Tous interviendront lors de ce meeting tout comme le philosophe Bernard-Henry Lévy, le généticien Axel Kahn, les actrices Emmanuelle Béart, Isabelle Adjani et Josiane Balasko.

    Pour la partie musicale sont attendus notamment Bénabar, Renaud, les têtes raides et Stomy Bugsy.
    La pétition (voir ci-contre) que l’on peut signer sur touchepasamonadn.com comptait, au 8 octobre, plus de 120 000 signataires.

     > Signer la pétition


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  • DDA A la une
     
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    [08/10/07]

     

    Rencontre à Prague avec l'ex-président tchèque, Vaclav Havel


    Ségolène Royal est à Prague pour Forum 2000, qui s'est ouvert dimanche soir sur le thème "Liberté et Responsabilité" et présidé par Vaclav Havel.

    Lundi matin, Ségolène Royal a participé à la session d'ouverture du Forum, aux côtés notamment de l'ancienne secrétaire d'Etat américaine Madeleine Albright. Elle a axé son intervention sur la nécessaire liberté économique et la responsabilité de l'Europe vis-à-vis du développement social, de l'écologie, de l'équité et de la justice. "L'Europe ne doit pas s'abandonner à l'insidieuse bureaucratie ni au capitalisme sauvage qui écrase les libertés" avant d'appeler de ses voeux un "ordre juste".

    Interrogée lundi à Prague par l'ex-président tchèque Vaclav Havel sur l'éventualité de sa candidature à la présidentielle de 2012, Ségolène Royal lui a répondu qu'elle se poserait la question "en temps voulu".

    "Il m'a demandé par deux fois si je comptais être candidate en 2012". Ségolène Royal a répondu que "pour l'instant elle se consacrait à une entreprise de rénovation politique et théorique à l'intérieur de son parti mais qu'elle se poserait cette question en temps voulu. Je suis dans une phase de travail et de réflexion".

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  • [05/10/07]

    EADS: L'étonnant silence de Nicolas Sarkozy


    Ségolène Royal s'est rendue aujourd'hui à Rochefort, en Charente-Maritime, où elle a visité le site d'EADS-Sogerma.

    "Dans l'affaire de possibles délits d'initiés au sein du groupe européen EADS, je m'étonne que Nicolas Sarkozy, qui est d'habitude très rapide pour intervenir sur les faits divers, ne se soit pas encore manifesté sur cette question qui choque profondément les Français

    Il faut que la transparence soit faite et je crois qu'au-delà des décisions de justice, il faut qu'il y ait par rapport à ce comportement totalement immoral du capitalisme financier un engagement très rapide de rembourser et que les sommes soient versées à une caisse de solidarité des ouvriers et des ouvrières d'EADS

    Je partage la saine colère des ouvriers et je souhaite que le président de la République, qui est très proche des dirigeants d'EADS, soit à la source de l'information."


    Selon l'Autorité des marchés financiers (AMF, le gendarme de la Bourse), 21 responsables d'EADS ont vendu fin 2005-début 2006 de gros paquets d'actions peu avant l'annonce de retards de livraison de l'avion géant A380, qui ont plongé Airbus dans une crise profonde et fait chuter les cours.

    De nombreux dirigeants du groupe européen EADS, dont Arnaud Lagardère, ami personnel de Nicolas Sarkozy, sont cités dans cette affaire de délit d'initiés. "Nicolas Sarkozy a récemment parlé de lui comme d'un frère. Est-ce crédible que l'Etat n'ait pas été au courant des problèmes de l'Airbus A380?"

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    Nicolas Sarkozy pourrait
    poursuivre son "ouverture"

    NOUVELOBS.COM | 03.10.2007 | 19:55

    Les noms des socialistes Julien Dray, Manuel Valls ou Jack Lang circulent à l'Assemblée.

    Julien Dray, porte-parole du PS  c  AFP

    Julien Dray, porte-parole du PS (c) AFP

    Des rumeurs circulent à l'Assemblée nationale, mardi 2 octobre, sur l'éventuelle annonce d'une nouvelle vague d'"ouverture" à gauche du président Nicolas Sarkozy. Selon certains parlementaires, le chef de l'Etat pourrait annoncer l'entrée au gouvernement ou au sein de missions de socialistes comme Manuel Valls, Julien Dray ou Jack Lang. L'annonce pourrait être faite mercredi soir, lors de la rencontre à l'Élysée avec les parlementaires de la majorité UMP-Nouveau centre (NC) 

    Dray : "Je suis député socialiste, point à la ligne"

    Interrogé mardi par l'AFP, le député Julien Dray a déclaré qu'il avait un "contrat de confiance avec (ses) électeurs", en réponse à la question de savoir s'il accepterait une proposition de Nicolas Sarkozy d'intégrer un gouvernement remanié.
    S'exprimant sur les rumeurs le disant convoité par le président Nicolas Sarkozy, le député de l'Essonne a répondu : "J'ai entendu ça une fois ou deux comme ça. J'ai déjà réagi" ces derniers mois. Julien Dray avait indiqué qu'il n'était pas intéressé.
    "Je ne veux pas rentrer dans ce genre de truc. Je ne veux pas être en permanence en train de dire 'j'ai dit non', 'je dirai non', de devoir me justifier", a ajouté l'ancien "conseiller spécial" de la candidate socialiste.
    Il a toutefois affirmé qu'il n'avait "pas à répondre à la question" qui lui était posée, "aujourd'hui vous diriez toujours non ?".
    "Je ne veux pas rentrer dans cette logique. Je ne sais pas qui balance des rumeurs comme ça. Je suis député socialiste, j'ai des électrices, des électeurs, j'ai un contrat de confiance avec des gens. Je suis député socialiste, point à la ligne", a-t-il martelé. 

    Copé "n'a pas d'info"

    Les rumeurs ont également été contredites par le président du groupe UMP à l'Assemblée Jean-François Copé, qui a indiqué, lors d'un point de presse hebdomadaire que "1. Ce point n'a pas été évoqué lors de notre réunion. 2. nous n'avons pas d'infos. 3. nous n'avons même pas de rumeurs".
    André Vallini, porte-parole du groupe socialiste, radical et citoyen (SRC), a choisi de répondre par l'ironie.

    Vallini n'y croit pas

    "Si on considère qu'une deuxième vague d'ouverture devait avoir lieu, elle poserait, semble-t-il, plus de problèmes à la droite qu'à la gauche. Pour ce qui nous concerne, nous sommes vaccinés", a-t-il dit lors de son point de presse hebdomadaire.
    "On a eu à gérer ça au mois de juin. Chacun agit en conscience. Moi, je ne crois pas une seconde que les noms que vous venez de citer soient susceptibles de passer de l'autre côté", a-t-il ajouté.
    "Si d'autres noms, d'autres socialistes devaient un jour franchir la frontière de l'opposition à la majorité, ça les regarde et il faut leur poser la question", a poursuivi le député de l'Isère.
    André Vallini a précisé, en réponse à une question, que Manuel Valls était présent à la réunion hebdomadaire du groupe mais que Jack Lang et Julien Dray étaient absents. Jack Lang s'est mis en congé du groupe parlementaire cet été.
    La stratégie d'ouverture prônée par Nicolas Sarkozy commence à faire grincer des dents certains membres de l'UMP. Ainsi, certains ont fait part, lors des journées parlementaires à Strasbourg, de leur souhait qu'elle soit "maîtrisée", selon les termes de Jean-Pierre Raffarin.
    (Avec AP et AFP)

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